Je ne sais pas ce qu’il attend de moi, il joue avec moi et prend un malin plaisir, je grogne parfois de trop joue de trop me chercher on me trouve mais cela Démétri devait le savoir et moi aussi.

Si tu le dis.

Je ne peux que d’accord avec sa demande, il devait payer, cela était sûr mais avec mon tortionnaire j’avais peu confiance.

Je l’espère une parole est sacré chez moi.

Il n’aimait pas cette promesse mais pourtant, il l’avait fête cette promesse.

A forks…. ? Ah oui en effet, j’ai envie de sortir, oui bonne idée.

J’avais des doutes mais je voulais sortir autant accepter, Démétri me regarde, mais pourquoi .il me laisse encore, encore, non…quand par soulagement il revient et me donne des vêtements qui ressemblaient à ceux des Volturi.

Merci de ces paroles et je dois mettre ces monstruosités ? C’est une plaisanterie ? C’est laid et je ne suis pas une des vôtres.

Si je voulais sortir il ne me laissait pas le choix, je défais mes vêtements, il se retourna quand j’étais nue, me regardant, je restais figée, cela devait faire parti encore de sa torture, je ne dis rien le laissant me regarder pendant que je m’habillais, il finit par se retourner.

Je suis prête, oui merci de ta délicatesse.

Pas le temps de souffler avec lui que j’étais prise pour le cou, je grognais je n’aimais pas cela. Il me montre sa tige, putain de tige, il me tenait, je la regardais, je le regardais, je fis un signe que j’avais compris.

Le message est passé, j’ai compris, je ne tenterais rien, tu tiens ta promesse, je tiendrais la mienne.

Enfin on sortait, je ne comprenais pas cette capuche sur ma tête mais je n’avais pas le choix, nous croisons s un autre Volturi, je grogne, je ne les aime pas, je suis collé à mon tortionnaire, je ne comprenais pas pourquoi.

Oui Démétri, je ne ferais rien.

Je ressens la tige dans mon dos, je frémissais, je devais laisser faire, je baissais la tête pour éviter toute provocation, j’écoutais la conversation, Félix un nom de plus, heureusement que Démétri ne nous retardent pas mais delà à me faire passer pour une de ses conquêtes. J’étais encore plus proche de lui, je ne le désirais pas mais je n’avais pas le choix.

Il m’attrape et nous sortons assez vite dans la ville, quand il me lâche enfin.

Je ne suis pas une de tes conquêtes, Démétri, sache là, je suis à toi certes mais pas une de tes filles avec lesquelles tu joues.

J’étais prête à lever la main mais je me retiens, je ne pouvais pas, quelque chose me disait que je ne pouvais pas faire ça.

Tu ne me laisse pas le choix allons y.

Je ne répondis pas à son sourire, mais je voulais revoir Emmett et nous verrons à ce moment là, nous nous mettons en route.

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