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    Eviter le massacre, un futur ennemi

    jane Ft ouvert à tous



    J’étais tranquillement dans mes appartements quand Caius me fit demandé, c’était plutôt rare et je me méfiais des demandes et des idées que parfois il pouvait avoir mais voilà je me devais d’y aller avant d’avoir la colère d’Aro sur le dos.

    En y allant je me demandais pourquoi moi, pourquoi pas mon frère, je ne pouvais rester un peu tranquille quelque temps, je faisais si peur que cela qu’il fallait que l’on m’envoie pour la moindre petite chose, alors que l’on pouvait envoyer des petites mains à ma place.

    J’arrivais calmement comme toujours en claquant la porte derrière moi,  Que veux-tu Caius ? dis-je sèchement, son regard en disait long, je bouillais intérieurement qu’il fasse appel à moi Aro était-il au courant de cette petite réunion… - Tu connais bien Forks, essaye avec des petites mains de leurs privés tout arrivés de poche de sang à l’hôpital… je ne réponds même pas à ça demande, je fais un signe de la tête et volte-face direction Forks.

    Arriver sur place je m’aperçois déjà les dégâts des chères petites mains de Cauïs, je grogne cela ne me plaît pas, certains bradent nos lois, certainement par la frénésie du sang, du carnage, je ne suis même pas encore arrivé à l’hôpital que déjà les camions étaient renversés, tout était saccagé, les conducteurs, passagers morts…vider de leurs sangs, laisser ainsi, vacant dans leurs sangs, l’odeur de la mort régnait, je grognais.

    Je traversais les cadavres, certains mourants que je finis au passage, je vois un vampire entrain se termine le sale boulot, d’un regard j’écartèle les membres pour le tuer, même si j’amais la torture, je n’aimais pas le carnage insensé, certainement pour se venger de cette humiliation que nous avons subie, cela en valait la peine ? Je me posais la question.

    Prise d’un coup, je me souviens l’hôpital, ils vont attaquer l’hôpital, du carnage encore, transgresser nos lois, ou Caius a-t-il été pêché ses nouvelles mains, je ne les avais jamais vue, pas des nouveau-nés mais qui étaient-ils ? Je me précipite vers l’hôpital, du sang, des cadavres, des animaux tout y passe, le long de la route.

    Une présence non loin de moi, je ne passerais pas la route vers l’hôpital, je ne connaissais pas cette odeur, cette présence ne me disait rien, j’avance prudemment, je défais mon capuchon.

     Qui est là ?

    Je lâche subitement, je savais qu’il y avait une personne, je fis quelques pas encore quand un homme vient me barrer le passage. - Hector Dmitri, d’un ton sec.

    Il n’était pas des Volturi, son regard rouge sang, grand brun, qui était-il a la solde de Caius tout ce que je savais et je devais le surveiller. Ou le détruire pour ce qu’il venait de faire. Un vagabond peut être. Je me méfiais de lui, plus âgées que moi encore, je grogne je n’avais aucune confiance, il a bafoué nos lois tout ce que je voyais.

     Je vais te tuer sur-le-champ, tu as bafoué nos règles vagabond, à la solde Caius ou pas …Il ne me laisse pas finir que déjà il n’était plus sous mes yeux rapides très rapide, prêt tout prêt, j’ai tout juste le temps de m’écarter sur le côté que déjà il réitère sa rapidité, je n’ai guère le temps de me concentrer pour utiliser j’essaye de me défendre, j’arrive parfois à le toucher, à utiliser mon don pour le stopper, mais…j’en souffre.

    Je regarde au loin d’autres profitent pour aller vers l’hôpital, j’essaye d’avancer, mais Hector me rattrape me relance contre les arbres du bord de la route,  je suis coriace mais j’ai trouvé plus coriace sans compter Bella. Je suis sadique mais jamais je ne tue des innocents, je ne prendrais pas ce risque, je réfléchis enfin j’essaye, Hector ne me lâche pas, je n’arrive pas à avancer.

    Une idée Jane, vite, pense réfléchie, que faire, je ne peux pas laisser faire cela, j’entends au loin mon frère, un soulagement est-ce un mirage je ne sais pas, je me reprends, je balance Hector, j’essaye de le contenir contre cet arbre, je lance un appel par la pensée, j’espère que l’on va m’entendre peu importe qui mais il faut faire quelque chose.

    Je suis la petite vampire que tout le monde déteste et voudrait me voir mourir certainement mais voilà à ce moment-là plus ma vie qui comptait mais les lois que ce Hector bafoue que tout vampire doit respecter. Je lance un dernier appel, j’espère avant d’être au bord de l’épuisement, j’essaye de le démembrer, de le faire bouillir, de le faire souffrir mais il est rapide échappant à mon regard me déconcentrant.

    Hector arrive à se défaire de mon emprise, une bonne fois pour toutes, je lutte encore un peu, il me projette encore, je me sens bousculée dans tous les sens, je vois flous, besoin de sang, pour me requinquer mais voilà je n’ai pas le temps, je lutte cette lutte acharnée, je me retrouve à terre presque évanouie, je sais j’en ai plus pour longtemps, mon frère ou est tu. Mon appel a-t-il été entendu, il va y avoir un massacre….

    Venez qui que ce soit, vite un massacre d’innocent va t’être imminent, venez, en perdant conscience… Je sentais des présences qui approchaient rapidement amis, ennemis, je ne savais pas, je sentais la fin de ma vie approchée, fermant mes yeux, j’attendais le moment de la fin, ma fin, un dernier mot C’est Hector Dmitri.



    codage par LaxBilly.
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    Eviter le massacre, un futur ennemi

    Nous sommes presque tous dans le salon de notre villa lorsque l'expression d'Alice nous interpelle. Mon regard doré se tourne vers elle à l'instar d'autres se demandant ce qu'elle voit à l'instant où nous parlons. Deux choses inquiétantes, à dire vrai. La première étant que Jane est en ville. Et la seconde, qu'elle semble mise à mal par un vampire contre lequel la maitresse de la douleur elle-même ne semble rien pouvoir faire. Je me relève de l'accoudoir du fauteuil sur lequel je me trouvais assis alors que les minutes suivantes se passent entre le désarroi de ma fille adoptive se remettant de sa vision, et les commentaires pour ou contre le fait de laisser la "blonde décolorée se faire abimer son joli minois". En juste récompense des traitements que certains d'entre nous ont pu recevoir de sa part par le passé. Un point sur lequel une partie de moi tombe d'accord, celle qui refuse qu'on touche au moindre cheveu de l'un des membres de cette famille. Cependant, cela n'est pas dans nos habitudes de laisser quelqu'un souffrir, même s'il s'agit d'un ennemi notable, et je coupe court à la discussion en me rapprochant de Alice pour lui demander davantage de précisions sur ce qu'elle a vu.

    Plusieurs minutes ont passé déjà, et l'appel d'Edward m'informant d'un signal télépathique à lui vriller les tympans me décide pour de bon. Je jette un regard "qui veut me suit" à ceux qui m'entourent avant de quitter la maison, coupant à travers bois sans me soucier de prendre la voiture. J'irai plus vite à pied.

    Arrivé sur place, je localise sans souci aucun la Volturi étendue à terre, et je m'accroupis près d'elle pour faire un premeir examen de sa personne. Ce n'est plus la Volturi ou même la vampire que je vois actuellement, mais la patiente. Jusqu'à ce qu'elle semble émerger une seconde de son état, pour laisser un nom glisser entre ses lèvres. Nom qui me fait me relever. Devant les regards interrogatifs de certains autres.

    "Un nom que je n'ai plus entendu depuis Volterra. Un solitaire, à la solde de Caius. Bien que j'ignore comment Caius parvient à le maitriser."

    Sans doute pas aussi bien que prévu pour qu'il s'en prenne à la protégée de Aro. Quoique cela pourrait bien avoir été dans l'intention de Caius depuis le départ. Allez savoir comment les sautes d'humeur des frères Volturis leur font bouger les pièces de leur échiquier. Je m'agenouille de nouveau près de Jane avant de claquer des doigts devant ses yeux, espérant la faire réagir. Juste assez pour avoir plus d'infos, et ne pas avoir à la ramener dans une maison où la moitié des habitants voudraient la voir morte.


    Afterglow

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    Eviter le massacre, un futur ennemi

    jane Ft ouvert à tous



    J’étais au sol, Hector prêt à me démantibuler, je le savais j’attendais mon heure arrivée, rêvant d'un ailleurs meilleur peut être ou je ne serai pas ce que je suis devenue presque avec regret à ce moment-là.

    Je sentis mon corps toucher brusquement le sol, ma tête cognant le sol en premier, je ne sentais plus la présence d’Hector mais une autre présence plus sereine.

     Alec, Alec...

    Dans les pommes, j’étais sonné, je me sentais faible, je ne m'aperçu pas de suite qui me parlais, qui était là près de moi.

    J’ouvre légèrement les yeux ne me sentant plus menacée, des doigts j’aperçois des doigts, ma vision reste floue, je pousse la main devant mes yeux.

     Carl…tu es venu, tu m’as entendu

    Tout restait vague, je fronçais les sourcils en voyant Carl, j’ai soif, j’essaye de me relever mais en vins pour le moment j’étais trop épuisée.

     Il faut sauver l’hôpital, un massacre, des innocents.

    Dis-je lentement entre deux respirations, tout ce que je pouvais faire pour le moment, je ne pouvais pas m’exprimer plus, qu’il sache que je n’y suis pour rien et que je n’étais pas d’accord avec tout cela, Carlisle me connaissait et je pense qu’il aurait deviné que je peux être là-dessous.

     Les poches de sang, n’arriveront pas.

    En essayant de me remettre, de ce contrecoup, je sentais encore la présence de d’Hector et d’autres mais je ne savais pas qui mon regard à moitié ouvert sur Carlisle.

     Carlisle je dois me nourrir, je dois me remettre sur pied.

    Lui tenant fermement le bras, j’espérais de ne pas finir comme cela, mais tant que les clans sauvent ce qu’ils peuvent, j’avais faits mon devoir de faire respecter la loi.




    codage par LaxBilly.
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    yop:



    Eviter le massacre, un futur ennemi

    Carlisle & Jane
    Tout allait bien ce jour là. Jasper se trouvait avec toute la famille dans le salon, couché sur le canapé de tout son long, la tête sur les genoux de sa femme, tout en lisant un livre, sans vraiment faire attention aux blagues douteuses d'Emmett. Mais le calme relatif ne dura pas puisque les sentiments d'Alice changèrent du tout au tout. Jasper se redressa alors, posant sa main sur son épaule, les yeux rivés sur elle, alors qu'Edward fermait les yeux rapidement, sous la violence du mal de tête qui l'assaillait.

    Lorsqu'Alice expliqua sa vision, Jasper haussa les épaules. Jane ne méritait qu'une chose : la mort... Surtout après ce qu'elle lui avait fait subir à leur dernière rencontre. Mais Carlisle ne semblait pas de cet avis puisqu'il leur laissa le choix de le suivre. Lâchant Alice à contre coeur, Jasper suivit donc le patriarche de la famille jusqu'aux lieux du crime. Jane était étendue sur le sol. La fatigue de la Vampire le gagna, mais il se reprit bien vite.

    Lorsqu'elle reprit plus ou moins connaissance, il arqua les sourcils. Au final, il aurait peut-être fait mieux de ne pas venir, puisqu'elle parlait de massacre à l'hôpital. Il allait plus être un poids pour Carlisle qu'une aide...

    - C'est encore un plan foireux de tes petits copains les Volturi, hein ?

    Au vu du regard du patriarche de la famille Jasper préféra se taire que d'affronter sa colère et lorsque Jane annonça qu'elle devait se nourrir il approuva d'un signe de tête. Lui aussi allait devoir se nourrir s'ils devaient allaient éviter un massacre à l'hôpital. Sauf que leur régime alimentaire n'était pas tout à fait le même. Et qu'il savait pertinemment - puisqu'elle lui avait fait la remarque à leur dernière rencontre - qu'elle n'allait pas le suivre dans sa chasse aux animaux... C'est alors qu'il se tourna vers celui qu'il considérait comme son père, pour suggérer :

    - Elle a raison. On devrait aller chasser avant de se rendre à l'hôpital pour empêcher le massacre.
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    Eviter le massacre

    ○ Everybody
    La majorité des Cullen se trouvent dans le salon, lors qu’Alice a une vision. Edward voit la même chose qu'elle et pendant un instant le silence se fait dans la maison. Tout le monde retient son souffle. Elle voit Jane entrain de se faire malmener par un autre vampire, apparemment il y a déjà pas mal de mort autour d'eux. Mais comment était-ce possible? Jane était-elle responsable de ce massacre ? Apparemment non, mais l'homme à ses côtés peut-être? Carlisle ne mit qu'un instant à se décider, il irait là bas, il irait aider la blondinette. Esmée le suivit immédiatement. Pas vraiment pour Jane, mais pour toutes les victimes potentielles. Ils coupèrent par la forêt et arrivèrent sur les lieux en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Ils trouvèrent d'abord Jane au sol. Elle et Carlisle échangèrent quelques mots et le visage de ce dernier s'assombrit au nom du vampire responsable de ce désastre.

    - Qui est-ce Carlisle ? Qui est cet Hector ?

    Finalement il réponds à cette question, avant même qu'Esmée n'est eu le temps de finir de la poser :  Un vampire à la solde de Caïus. On courrait au carnage à n'en pas douter. Mais pourquoi le faire venir ici? Nous étions en paix depuis leur dernière venue, non ?
    Jane à l'air vraiment mal en point. Et Esmée compatit comme elle le fait toujours lorsqu'elle voit des gens souffrir peut importe de qui il s'agit. Elle est prête à aider la blondinette, mais aussi tous ces innocents qui vont de faire tuer si il ne font pas quelques chose très vite.

    - Comment ça les poches n'arriveront pas? Qu'est ce que c'est que cette histoire ?

    Ils allaient empêcher les gens de pouvoirs se soigner? Pourquoi faire cela? Les humains étaient leur premières sources d’alimentation. Pourquoi les tués et en aussi grand nombres, à la vue de tous, sans tenir compte de leur propre loi?

    Jane vient de parler de massacre et elle et Jasper parle d'aller étancher leur soif. Ils ne sont pas sérieux, si?

    - Nous n'avons pas le temps pour ça Jasper. Le temps que vous alliez vous nourrir et Forks ne comptera plus beaucoup d'habitants.

    Bon elle exagérait peut-être un petit peu. C'était tout elle, ça! Mais elle avait vraiment peur. Elle comprenait aussi la réaction de Jasper et elle savait combien il pouvait être difficile pour le jeune homme de se retenir lorsqu'il sentait du sang humain.

    - Fais le Jasper. Fais ce qu'il faut. Carlisle si tu est prêt nous devrions peut-être y aller. Regarde se qu'ils ont déjà fait ! Grâce à Emmett nous pourrons déjà en arrêter quelques uns, en attendant votre retour.

    Le jeune homme était derrière eux à attendre la suite des événements. Il évitait de s'approcher trop près de la blondinette, c'était un coup à lui en mettre une, très clairement, alors il s'abstint.

    (Me suis permise de rajouter Emmett dans le sujet, parce que je le vois mal rater un peu d'action^^ pour une fois qu'y a un peu de baston en ville, il ne peut pas louper ça^^)

    (c) miss pie


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    Eviter le massacre, un futur ennemi

    Jane finit par revenir à elle, bien que je pourrais me sentir vexé qu'elle me confonde avec son frère. Alec et moi n'avons jamais vraiment été de grands amis, pour tout dire. Je l'accueille cependant avec un sourire plus sincère que certains ne s'y attendraient entre deux adversaires, peut-être même ennemis, qui ont pourtant su un jour évoluer de front commun.

    "C'est plutôt Edward qui t'as entendue. Et Alice qui t'as vue. Et tu sais comment on est, incapables de ne pas se porter au secours d'une demoiselle en détresse."

    Même si cette décision n'a clairement pas fait l'unanimité dans nos rangs. Cependant, quelque part, j'espère que cela servira de leçon à Jane. Elle qui sait clamer haut et fort que "les Volturis n'accordent pas de seconde chance" devrait aisément remarquer que nous y sommes plus enclins, bien que le pardon n'est pas encore au rendez-vous. Suffit de juger par la réaction de Jasper, à vrai dire pas disproportionnée par rapport à ce que j'ai pu apercevoir de leur dernière rencontre. Cependant, là n'est pas le moment, et je lui fait comprendre d'un regard qu'il y a des choses plus importantes pour le moment.

    "Jasper, s'il te plait."

    Mon regard passe de mon fils à mon épouse alors qu'elle pose la question qui nous brule les lèvres à tous. Rembobine, Jane, et offre nous le début du film avant le générique de fin. La main de la Volturi se serre cependant autour de mon bras dans une tentative de se relever, ses yeux noirs parfaite illustration de la faim dont elle témoigne quelques secondes plus tard. Ma main venant à son tour attraper son bras, je me relève en l'entrainant à ma suite, m'assurant qu'elle tient debout avant de la relâcher. La joute verbale qui se joue ensuite entre mon fils et mon épouse fait passer mon regard de l'un à l'autre, observant dans le même temps la couleur sombre des yeux de Jasper. Esmée a raison, on n'a pas le temps pour ça, mais si bataille il doit y avoir, aucun de nous ne sera en capacité de retenir la soif de sang de notre fils si elle se réveille.

    "On n'a pas le temps. Pas plus qu'on en a à perdre avec vous si il faut vous empêcher de participer à la curée." Je lui offre mon assentiment d'un regard. "Emmène la avec toi, et ne la perd pas en route. Je compte bien qu'elle nous explique le fin mot de l'histoire." Mon regard passe de Jasper à Jane, regard dans lequel je glisse assez de menace pour qu'elle juge utile de ne pas filer à l'anglaise. "Et contente ou pas, il faudra te contenter de sang animal. Nos terres, nos règles. Jasper? Emmène Bella avec toi, par précaution."

    Précaution autant pour elle que pour lui, mais cela, je préfère le taire. Bien que je sache que Jasper sait que nous ne le jugerions pas pour un écart de conduite, je sais également qu'il se juge suffisamment lui-même pour le lui éviter, autant que possible. Et si massacre il y a, ce n'est pas l'odeur d'un puma qui couvrira celle du bain de sang humain qu'il pourrait se faire en ville... accompagné de Jane et sa capacité à s'entendre parler, je préfère être prudent. Autre raison? Je n'ai vraiment pas envie que Jane s'amuse à le torturer entre deux chênes et un sapin, et Bella peut parfaitement l'en empêcher.

    Cela arrangé, je me retourne vers Esmée, m'éloignant de Jane et Jasper pour ne pas leur laisser l'occasion de râler. Lui de la supporter, elle, de devoir jouer les "bouffeurs d'écureuils".

    "Oui, allons y. Mais soyez prudents. Personne ne se retrouve seul face à Hector."


    Afterglow

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    Eviter le massacre, un futur ennemi

    Dans mon métier primaire, il était rare d'avoir du repos. Les monstres n'attendaient pas sagement qu'on se décide à sortir les combattre. Non, ils attaquaient sans pitié, sans reconnaissance aucune, juste pour le plaisir de tuer. C'était pour ça que le Conseil avait mis en place des surveillances constantes, et particulièrement dans les villes à attrait surnaturel, telle que Forks. Ils avaient des yeux sur tout, ils surveillaient tout, prêts à faire intervenir les agents dormants à proximité. Bon, ok, à ma connaissance, j'étais la seule dans les parages. Ce qui m'arrangeait bien. Plein de tranquillité et de chasse pour moi toute seule !

    C'est pourquoi lorsque mon téléphone sonna avec l'identifiant du bureau du Conseil, je lâchai un grognement avant de répondre sèchement. Je n'appréciais pas être dérangée, même par eux.

    "Hisa. .... Où ? .... Sérieusement, vous voulez que j'y aille toute seule ? Vous êtes dingues ? .... PARDON ?! Faire équipe avec les vampires locaux ?! Allez vous faire foutre !"

    Je n'eus aucun scrupule à raccrocher au nez de ce pauvre secrétaire qui n'avait probablement jamais vu de sang de sa vie. Abruti. Je grinçai des dents avant de me lever. J'avais du travail sur la planche.... et des nerfs à maîtriser.

    Une fois habillée de pied en cape de façon pratique et discrète, une capuche sur ma tête et un masque délicat couvrant mes traits, j'attrapai mon sac d'armement avant de sauter dans ma voiture, direction l'hôpital, où apparemment un massacre avait lieu. Pas plus d'infos. Super la surveillance, bande de cons. Et franchement, leur suggestion de travailler en collaboration avec les sangsues locales... c'était à se tirer une balle. Ou tomber de Charybde en Scylla. D'un buveur de sang à un autre.

    Garée dans l'ombre, je sortis de ma Baby avant de m'aventurer dans les ombres histoire de faire un point sur la situation. Des vampires et des corps à perte de vue. Ô joie. Démêler le vrai du faux allait être un pur moment d'extase. J'attrapai mon précieux sac avant d'avancer avec beaucoup de précaution et d'hésitations dans la direction générale du groupe de buveurs de sang. Visiblement, y'avait pas le choix, il allait falloir coopérer, au moins rien que pour comprendre le schmilblick...


    Afterglow

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    Eviter le massacre, un futur ennemi

    Carlisle & Jane & Esmée
    Ça n'aurait tenu qu'à lui, Jasper aurait piétiner Jane, avant de lui arracher un ou deux membres en prenant bien le temps de la faire souffrir avant de la laisser en plan. Mais au vu du ton de voix de Carlisle et de l'inquiétude grandissante d'Esmée, il laissa tomber ses idées de torture concernant la blonde décolorée et il se contenta simplement de lui grogner dessus. Elle ne méritait que ce genre de chose, n'est ce pas ?

    Cependant, lorsqu'elle se mit à expliquer la situation et que l'inquiétude d'Esmée commençait à prendre le pas sur le reste, Jasper se rapprocha de sa mère, lui insufflant un peu de calme. Il était certain qu'ils allaient réussir à agir &avant que des innocents soient tués. Mais pour cela, lui allait avoir besoin de se nourrir. Il savait d'expérience qu'il ne pourrait jamais faire face au possible bain de sang humain avec autant de contrôle de Carlisle. Mais Esmée le contredisait. C'est donc assez froidement que l'Empathe lâcha :

    - Parce que tu penses avoir le temps de me retenir une fois sur place ?

    Il se gifla mentalement d'avoir parlé aussi sèchement à Esmée et sa main trouva la sienne, pour lui faire ressentir le fait qu'il voulait s'excuser. Au moins, Carlisle était plus compatissant à son égard mais le blond faillit s'étrangler lorsqu'il lui dit d'amener Jane avec lui. Il lança un regard noir à son ennemie, lui faisant bien comprendre qu'il ne fallait pas qu'elle s'amuse de nouveau avec lui. Ils n'avaient pas le temps de toute façon.

    - D'accord...

    Lorsque le patriarche rajouta qu'elle devait se contenter de sang animal, Jasper ne pût s'empêcher de sourire en coin. Bien fait pour elle ! Il releva le regard à la mention de Bella et approuva d'un signe de tête. Il s'éloigna alors du trio, formé par son frère et ses parents, en prenant la blonde par le poignet pour la forcer à le suivre.

    Un aller à la villa plus tard pour aller chercher sa belle-soeur et lui expliquer la situation, ils se dirigèrent tous trois vers la forêt, même si Jane traînait des pieds. Il se laissa porter par l'odeur d'un troupeau de biches qui se trouvait non loin et fonça sur l'une d'entre elle, pour la vider de son sang. Il en laissant cependant assez aux deux autres filles pour qu'elles puissent elles aussi se nourrir.

    Si Bella le fit avec plaisir, Jasper ne pût s'empêcher en voyant Jane rechigner à le faire. Il lui lança un nouveau regard noir, lui faisant comprendre qu'ils n'avaient pas plus de temps que cela, l'obligeant à accélérer les choses. Et ce n'est qu'une fois repu qu'ils retournèrent vers l'autre trio.

    Derechef, Jasper se dirigea vers Carlisle, tout en questionnant, en laissant Jane derrière lui parce qu'il n'avait pas prévu de la supporter plus longtemps de toute manière :

    - Quel est le plan d'action ?

    Déjà peut-être fallait-il plus connaître leur ennemi avant d'attaquer, non ? Il se tourna alors vers Jane, en questionnant  :

    - Ce Hector a t-il un don ?

    Il se figea alors, en sentant une odeur humaine alors qu'ils approchaient de plus en plus des lieux. Ce genre de chose n'était pas du tout normal...
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    Eviter le massacre, un futur ennemi

    jane Ft ouvert à tous



    En revenant un peu à moi, voyant carliste, je commençais à comprendre certaines choses et l’agitation autour moi, je n’étais pas encore remise.

     Carl, j’ai lancé un appel, ne sachant pas qui allait venir, je sais que beaucoup m’auraient laissé, voir en profiter, merci d’avoir vu et d’être venu.

    La famille Cullen était présente, je les entends mais cela bourdonne encore dans ma tête.

    Très foireux Jasper, je n’accepte pas cela non plus mais Hector m’attendait de pied ferme, je n’ai pu lutter.

    Dis-je pendant que Carliste m’aidait à me relever. Je sais que je n’étais pas la bienvenue parmi eux, mais je n’avais pas le choix que de coopérer, faut prendre Bella je lâchais un grognement, j’écoutais Carliste je le connaissais assez pour être calme et prendre les bonnes décisions…

    Ne laissant le choix à personne, j’accepte les conditions de Carl du sang d’animaux une horreur. J’étais attirée par le sang qui jonchais le long de la route, les basses mains qui continuaient leurs besognes mais Jasper ne me lâcha pas me traînant presque, vers leurs villas. Un troupeau de biche ils n’avaient pas mieux, je rechignais je compris par le regard de Jasper qu’il allait me faire regretter que de traîner et rechigner à boire, je n’eu pas le choix il fallait me requinquer et j’avais faits une promesse.

    Je rejoignis le groupe bien à contre cœur mais ils m’avaient sauvé et je ne pouvais laisser faire ce qui se passait sinon je n’aurais pas appelé. Ayant retrouvé mes esprits enfin presque, je devais un peu plus de détails même si je pense que Carliste avait un peu parlé d’Hector.

    Caïus m’a envoyé ici pour surveiller ce qui se passait, voire de participer, je suis arrivée trop tard, Hector et ces sbires avaient déjà commencés le travail, je n’accepte pas cela il trahit nos règles. Je ne sais pas où Caïus à trouvé cet Hector mais il est plus ancien que moi, il se déplace très rapidement, il est incontrôlable, je n’en sais pas plus.

    J’avais espéré avoir donné assez d’informations, quand il me revient une question qu’Esmée avait posée avant que Jasper me traîne.

     Esmée, le pourquoi Caïus craint un nouveau clan, des nouveaux vampires trainent dans le coin, un seul clan suffit à ses yeux, en plus d’avoir un manque de poche de sang pour ceux qui s’en nourrissent, il pense les faires reculer, ne prenant pas compte des innocents…Pensant luttez quand j’ai vue les faits, il fallait arrêter ce massacre, Hector m’attendait vous connaissez la suite. En pensant être dans mon dernier souffle je voulais éviter le massacre,  j’ai lancé un appel à l’aide en espérant qu’une personne allait arrêter tout cela.

    Je me tenais sur mes gardes, je ne pouvais rien faire avec le bouclier de Bella, tout était en pleine forme pour tenter quoi que ce soit, même si je ne pense pas qu’il le ferait mais si je trahis ma promesse je sais que j’y passerais et j’étais seule.



    codage par LaxBilly.
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    Parfois dans la vie, il y a des moments où l'on voudrait vivre comme tout le monde, c'est ce que j'aurait souhaitait, mais on ne peut pas rechasser le passé, c'est un lointain souvenir qui s'éfface avec le temps. Ma journée allait bien se finir, mais malheureusement, j'ai appris que l'une de mes élèves avait été transportez d'urgence à l'hôpital pour une soit disant attaque animal.

    Sans perdre une seconde, je me dirige vers l'hôpital qui se situe dans le Quartier Ouest de la ville. Avec ma super vitesse de vampire, je me dirige en une fraction de seconde pour voir mon élève, mais en arrivant sur place, je vois beaucoup d'agitation, des gens qui courent un peu partout.


    Puis je reconnaît mon élève, elle est sur le sol. Je l'emmène dans un endroit où il n'y a personne, elle commence à s'affaiblir et à s'en aller, mais il n'en était pas question, elle avait encore de beaux jours à vivre, mais attention, hors de question que je fasse d'elle un vampire. Je me mord le poignet, avant de lui donner de mon sang.

    Une minute plus tard, elle est pleinement rétablie, j'en profite pour lui éffacer la mémoire tout en lui disant de rentrer chez elle. J'entend un bruit qui provient de l'extérieur de l'hôpital. Je my précipite et j'y découvre Jane, avec une autre personne que je ne connaît pas, mais je devine qu'il s'agit d'un vampire, et pas d'un gentil, je prend la parole


    "Jane tu vas bien?... Qui est ces hommes?"
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    Eviter le massacre

    ○ Everybody
    Nous étions tous devant Jane a attendre des explications, mais nous n'avions plus le temps pour ça. Jasper fit passer une sensation de calme en moi. Il sentait bien sur que j'étais inquiète. lorsque je lui expliquais que nous ne pouvions pas attendre qu'ils aillent se nourrir que nous devions agir sur le champs, il s'emporta; me rappelant que nous ne pourrions l'arrêter si il répondait à cette soif. Ce que je comprenais tout à fait, mais sa réaction me paraissait un poil exagérait par rapport à ma remarque. Il se rend rapidement compte qu'il est allé trop loin et se rapproche de moi et me serre la main, pour me faire comprendre qu'il est désolé grâce à son don. Je l'accepte, dans un léger sourire. Carlisle nous prend à part avec Emmett.

    - Mais qui est-il?

    Il avait beau ne pas montrer son inquiétude, sa main avait serré la mienne plus fort. Je n'insiste pas dans mes questions, nous aurons bien le temps plus tard. Non, je n'envisage pas une seconde que nous puissions être défait face à cet homme...
    Nous allions partir en direction de l’hôpital lorsque je sens une humaine non loin de là. elle vient vers nous; visiblement pas effrayé par tout ces corps et ces voitures retournées qui nous encerclent. Étonnant!

    - Vous ne devriez pas rester la jeune fille!

    Toujours son côté protecteur qui parlait en premier. Elle ne l'avait jamais vu, et elle n'aurait pas imaginé qu'il s'agisse d'une chasseuse. En avait elle seulement croiser un dans sa vie?  Pas souvenir, ils étaient surement assez discret pour cela. Elle ne pensait pas s'attarder plus longtemps sur cette jeune fille, ils avaient bien trop à faire à l’hôpital. Elle commença donc à avancer dans cette direction, mais la main de Carlisle la retient sur place. Visiblement lui en avait décidait autrement; il devait connaître cette jeune fille.

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    Eviter le massacre, un futur ennemi

    J'accepte les remerciements de Jane d'un signe de tête, trouvant néanmoins à lui répondre avant qu'elle ne s'en aille avec Jasper.

    "Tâche de t'en souvenir la prochaine fois."

    Plusieurs nouveaux arrivants commencent à s'amasser autour de nous, parmi lesquels j'espère plus de coups de mains utile que de curieux à protéger d'eux-mêmes. En attendant, je prend la main d'Esmée dans la mienne avant de l'entrainer à l'écart, suivis d'Emmett. Et à sa question je répond en choisissant mes mots, tenant à les mettre en garde sans être paniquant non plus.

    "Une menace dont il vaut mieux se méfier. Voyez le comme le chien d'attaque de Caius, sans oublier qu'il ne lui a pas appris le rappel. Évitez de vous retrouver seul à seul avec lui. Je ne plaisante pas, Emmett!"

    Ma main sert davantage celle d'Esmée sans que je ne m'en rende vraiment compte. Ensemble, nous sommes puissants, mais je ne peux m'empêcher de craindre pour la vie de chacun des membres de ma famille à chaque instant où elle se trouve menacée. Et si je sais que Esmée ne fera pas de folie, hormis si l'un de nos enfants est en réel danger, je connais la proportion d'Emmett à foncer dans le tas et réfléchir à un plan censé après coup.

    Les paroles de Esmée, adressées à quelqu'un que je n'avais pas vu approcher, me font tourner le regard vers une silhouette que je reconnais rapidement comme la chasseuse que j'ai déjà croisé, il y a quelques temps de cela. Celle-là même qui ne croyait pas qu'un vampire puisse être capable de passer à coté de deux gouttes de sang humain sans désirer déchiqueter une artère. Je retiens donc la main de Esmée, qui se dirigeait dans sa direction, et m'avance d'un pas pour revenir à sa hauteur, lâchant sa main pour glisser mon bras dans son dos.

    "J'ignorais que tu étais encore dans les parages. Esmée, je te présente Rhenna, une chasseuse à qui j'ai brièvement enseigné que nous n'étions pas tous ennemis des hommes. Rhenna, mon épouse, Esmée. Et l'un de mes fils, Emmett."

    A vrai dire, j'attendrais un autre jour pour faire de plus grands discours. Parce que le monde en se met malheureusement pas en pause le temps que nous parlons, et il ne nous faudra pas perdre trop de temps encore si nous désirons empêcher un massacre de se produire. Quand à attendre que Jasper, Bella et Jane reviennent de la chasse? Je les espère rapides, même parmi les vampires, sinon il faudra faire sans eux.

    "T'as des infos à partager autre qu'un groupe de chair à canon Volturi et un vampire sanguinaire plus ancien que n'importe lequel d'entre nous et impossible à raisonner?"


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    Eviter le massacre, un futur ennemi

    Malgré mon apparence bravache, je n'étais pas rassurée. Une seule chasseuse face à tant de vampires, c'était la mort assurée. Ou une transformation s'ils étaient joueurs... Maudissant une nouvelle fois le Conseil, je continuai de m'avancer, prenant soin de ne rien laisser paraître de mon trouble. J'avais vu trois des vampires disparaître au loin, sans doute pour aller commettre d'autres méfaits, et je me concentrai sur ceux encore présents.

    Bien sûr, le clan Cullen était présent. Avec un patriarche et Sire docteur, forcément qu'ils allaient être là. Je secouais mentalement la tête face à l'ironie de l'homme : il était un vampire, une créature du Diable, et il travaillait à l'hôpital. Bon, ok, techniquement c'était un bon plan pour avoir accès à des poches de sang. Mais Carlisle Cullen m'avait expliqué, et c'était noté dans leur dossier, qu'ils ne buvaient que du sang animal. Mouais... le jour où l'un d'entre eux en aurait marre d'être shooté au sang animal, ça n'allait pas être beau à voir. Et puis surtout, c'était extrêmement rare chez les vampires de pouvoir se retenir face à du sang humain. Ce qui faisait de Carlisle, et potentiellement de sa famille vu qu'elle était là, des individus étranges et à surveiller. S'ils savaient se retenir, ils étaient plus dangereux, car plus puissants et plus réfléchis.

    Ils m'avaient enfin repérée. Pas trop tôt... pour des créatures aux sens surdéveloppées, ils étaient pas très rapides. Je retins un ricanement face à la remarque de la femme à côté de Carlisle. Comme si elle était réellement inquiète pour un humain... Riiiight... not happening. Je me plantai en face de Carlisle, les bras croisés, prête à bouger même s'il n'y avait pas de danger apparent, pour le moment. Les paroles du vieillard me firent lever un sourcil, l'air interloquée.

    "Je ne suis jamais partie, Cullen. Et un enseignement n'est complet que s'il est accepté. Ne vous vantez pas trop. Je hochai sèchement la tête vers les deux personnes désignées, intérieurement sur la défensive face à la carrure du-dit Emmett. C'était un géant ! Bref, on est pas là pour prendre le thé et les petits gâteaux, on parlera cuisine un autre jour. Quant à la question du patriarche... Je haussai une épaule d'un air désinvolte. Le Conseil est aveugle dans ce foutoir... mais j'ai un briquet et des armes. Comme d'hab' quoi. Des infos particulières à savoir ? Des dons ? Des aptitudes spectaculaires, à part faire un carnage ? D'ailleurs, où sont partis les trois de votre groupe avant que j'arrive ?"

    J'essayai tant bien que mal de contenir mon agressivité et mon envie de me battre avec eux, ils n'étaient pas l'ennemi... pour le moment. Les traiter comme d'autres Chasseurs. Calme Rhenna. Calme. Tu as un boulot à faire. Même si les corps environnants n'arrangeaient pas mon humeur et mes instincts particulièrement forts ce soir-là.


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    QCe soir, avec Mark nous avons décidés de passer une soirée en amoureux, en allant au restaurant. En fait, c’est Mark qui m’a invité afin de passer une belle soirée rien que tous les deux. Quand tu vis avec toute ta famille dans la même maison, cela peut être embêtant si on veut passe du temps pour nous. Alors Mark a trouvé la bonne idée du restaurant. Il a réservé hier pour savoir s’il y avait encore de la place pour aujourd’hui. Fort heureusement, il en restait. Il s’agissait d’un petit restaurant italien très sympa. Le serveur était très agréable et l’ambiance très concis. Nous avons passé un agréable moment, j’aimerai qu’il en ait plus souvent. Malheureusement, ce n’est pas souvent le cas. Nous sommes ici dans le but de rencontrer les Quilleutes et d’établir des liens avec eux. J’ignore s’ils accepteront mais je l’espère. Je sais que nous avons tant à apprendre les uns des autres.

    Après la fin du repas, nous sommes sortis du restaurant et nous sommes allés nous promener dans la ville pour finir notre soirée. Les rues sont quasi désertes. On ne m’a pas menti sur l’ambiance de la ville. Mais bon, je sais que ce n’est pas que provisoire. Juste le temps de régler ce pour qui on est ici et basta, on rentre en Finlande.

    Alors nous, nous promenons main dans la main, j’entends des bruits suspects venir quelques mètres plus loin. Inquiète, je m’avance avec Mark dans la direction de ce vacarme et c’est là que j’aperçois plein de vampires. Mon sang ne fait qu’un tour. J’ai déjà fait la connaissance de quelques vampires mais là ça fait beaucoup. Certains me donnent la chair de poule. Parmi eux, je distingue aussi une humaine, une chasseuse d’après ses paroles. Honnêtement, je pensais pouvoir partir sans qu’on nous remarque, mais hélas ce n’est pas le cas.

    - Euh bonsoir. Désolée, nous ne voulons pas d’ennuis.

    C’est alors que je vois la vampire que j’ai rencontré récemment.

    - Esmée. Est-ce que tu vas bien ? Mais Bordel, c’est quoi cet attroupement de vampires. Que se passe t-il ?

    .


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    Eviter le massacre, un futur ennemi

    Suite à la réplique cinglante de la chasseuse, je tourne légèrement la tête vers Esmée, murmurant à son oreille, juste assez fort pour être entendu de la jeune tigresse qui nous fait face.

    "Au moins, j'aurai essayé."

    Néanmoins, s'il y a une qualité que l'on doit lui reconnaitre, c'est d'aller directement au but, sans tourner autour du plat pendant dix ans. Dis années que nous n'avons pas. Pour tout dire, nous n'avons pas même dix minutes, au rythme où vont les choses. Alors, moins de discussion et plus d'action.

    "Il est fort, même pour l'un des nôtres. Et totalement dévoué à Caius, alors ce n'est pas la peine d'essayer de le raisonner."

    Même si il suffit de juger du ton employé par Rhenna face à un allié potentiel ayant le défaut majeur d'être de sa race pour se dire qu'elle ne doit certainement pas perdre de temps à tenter de raisonner un véritable ennemi.

    "Les trois autres, comme tu dis, sont partis à la chasse. En cette saison, je parierai sur du cerf. Cela ne te concerne pas, sauf si tu compte protéger Bambi plutôt que les humains qui risquent fort de passer un mauvais quart d'heure si nous restons ici à discuter."


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    Eviter le massacre

    ○ Everybody
    Carlisle nous parle rapidement du dit Hector, en nous demandant de ne pas nous retrouver seul face à lui; avant de voir débarquer cette humaine. Celle-ci s'avère en réalité être une chasseuse. Carlisle nous la présente et nous présente aussi par la même occasion. Il a mit son bras dans mon dos. Sa force me rassure un peu. Je n'aime pas me faire une opinion sur les gens après seulement une seconde, mais là j'ai du mal. Son salut est des plus rigides, elle m'ignore complètement, sans parler d'Emmett, autant vous dire que je l'avais mauvaise. Je prends sur moi, ce n'est vraiment pas le moment de faire la fine bouche et puis elle surement autant stressée que nous par les événements, on va lui accorder le bénéfice du doute. Peut de temps plus tard, je sens une odeur de loup. Je me tourne vers cette odeur. Je reconnais assez rapidement la crinière rousse de Simone. Elle s'approche de nous avec un autre homme, je suppose qu'il s'agit de son mari dont elle a parlé brièvement lors de notre rencontre.

    - Ne t'inquiète pas, tu ne risque rien. Moi oui, je vais bien. Mais visiblement un vampire à la solde des Volturis fait des siennes en ville; et on doit l'arrêter maintenant... Vous êtes les bienvenus si vous le souhaitez, quatre bras en plus ne seront pas de trop apparemment vu le monsieur!

    Je ne songe même pas qu'ils puissent ignorer qui sont les Volturis, mais je n'ai pas vraiment la tête aux détails en fait. Je m'inquiète surtout de l'état dans lequel on va retrouver l'hôpital et les humains se trouvant à l'intérieur et sur la route pour y aller... Je me tourne de nouveau vers mon époux pour que nous partions tous ensemble. Il est grand temps, comme tout le monde là déjà si justement fait remarquer. Je reprends sa main, machinalement, surement pour me rassurer, être sur qu'il est bien là près de moi. Ma hantise présentement : les perdre de vue durant la bataille lui et Emmett.

    Nous nous remettons donc en marche vers l’hôpital. Nous croisons des vampires entrain de boire un peu par ci par là à la porte de l’hôpital. Avant de trouver et d'arrêter cet Hector, j'ai bien peur que l'on doivent commencer par ceux là.

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    Face aux remarques douteuses du patriarche Cullen, je croisai les bras et haussai un sourcil. Il était sérieux là ?! Il était censé être ce parangon de sérieux et de gentillesse, et voilà comment il m'accueillait ? Bah putain, heureusement que je m'en foutais de lui et que j'étais là pour les humains... sinon j'aurais pris le temps avec joie de lui casser la figure. Crétin.

    Et deux personnes de plus venaient de nous rejoindre. Décidément, c'était le nouveau lieu à la mode ici ! Par contre, aucune idée de ce qu'ils étaient. Et j'étais pas là pour ça. Les devinettes, ça serait plus tard. S'ils voulaient aider, ils étaient les bienvenus, sinon, ils dégageaient vite fait bien fait. Il y avait déjà beaucoup trop de victimes.

    La phrase de Mme Cullen, Esmée selon le papy, me fit me tendre d'un coup. Les Volturi étaient impliqués dans ce carnage ? Ca allait définitivement remonter au Conseil... et j'allais me faire un plaisir de les tuer. Porter un coup à ces meurtriers était toujours aussi agréable. Avant de me lancer dans la bataille, de me plonger en mode combat, je ne pus m'empêcher de répliquer sarcastiquement face au blondinet.

    "Je suis vegan."

    Enfin, les trois vampires disparus en forêt revinrent, et je me tendis en voyant la couleur des prunelles de la blonde : pas rouge sang, mais pas miel non plus... une sanguinaire. Et surtout... ce n'était pas la fameuse Jane, de la garde Volturi ? Qu'est-ce qu'elle foutait là avec les Cullen ?! Ils auraient de sérieuses explications à donner, une fois ce bordel fini. Je fis craquer mon cou, enfilai des gants, puis tirai mon briquet de ma poche, prête à constituer un petit bûcher. Les explications, le combat d'abord, les règlements de compte après.

    "Alors, quoi de plus comme info ? Je vais tout de même pas devoir aller supplier le Conseil d'envoyer un bataillon en renfort, si ?"


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    Eviter le massacre un futur ennemis
    Emmett Jasper Esmée Carlisle Jane Rhenna simone
     
    on étais tous dans le salon j'étais en train de faire de joli blagues donc j'ai le secret a Jasper mais apparemment Alice à une vision et je vois le regard de Edward et je me doute que c'est grave.
    Sa concerne Jane Volturi je souris on va rire Esmée me demande de venir avec je souris une bagarre j'adore je les suis et on se rend sur place, un massacre se prépare à l’hôpital du coin je prend mon ai le plus sérieux et baraqué je vais protéger ma famille comme toujours je regarde Jasper qui voudrais bien s'en prendre à Jane et je comprend tellement je ferai la même chose si je le pouvais mais je ne prend pas la parole je me contente de regarder se que il se passe et reste sur mes gardes quand je sens l'odeur d'une humaine qui arrive sur place.
    Je la regarde méfiante on est en route pour l’hôpital c'est un carnage qui s'annonce je préfère rester silencieux dans se genre de chose mon côté blagueur est plus la et je préfère regarder se qu'il se passe je suis ma mère et Jasper et aussi mon père

    Dsl emmett reste muée mais comme j'ai pas mal de retard c'est long a rattraper mais les prochain rp il va plus participer promis  

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    QSi j’avais su, je serais rentrée directement avec Mark, à la maison au lieu d’aller nous promener dans les rues de Forks. Surtout qu’on ne peut pas dire que c’est une super grande ville accueillante et chaleureuse. Ce n’est pas Paris ou Venise. Il n’y a pas de grandes allées commerçante, de grands maisons ou des beaux monuments allumés la nuit pour émerveillés nos yeux d’enfants. A la place, on a des magasins fermés, des rues à peine éclairées et on ne peut pas dire qu’il fait chaud. Même si nous, les loups, nous ne sommes pas sujette au froid, mais quand même.

    Et ne pour rien arranger, nous voilà, Mark et moi, aux prises avec des vampires. Nous sommes entourés par des vampires, plus une humaine. Des vampires sanguinaires et végétariens au yeux de la couleur des yeux.

    Je regarde la scène incrédule, ne savant pas quoi faire. J’ignore ce qui se passe, mais je vois Esmée parmi tous ces vampires. Je lui demande si tout va bien. Elle m’affirme qu’un vampire sévisse dans la ville et qu’il faut l’arrêter. Elle me demande si nous pouvons l’aider.

    - Euh oui, nous ferons ce qui est humainement possible mais il faudrait nous en dire plus.

    Je regarde l’humaine qui avait l’air de plus se plaindre que de vouloir nous aider. Cependant, je ne la connais pas pour la juger. En avançant vers l’hôpital, je vois des vampires boire le sang de pauvres humains.

    - On doit les tuer ceux-là aussi.

    Je pointe ces suceurs de sang du doigt. J’espère ne pas avoir à me transformer en louve pour les tuer. Je serre la main de Mark dans la mienne pour me rassurer.


    .


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    Jazz, Jane et Bella ne tardent pas à revenir de la chasse, les yeux des deux premiers présentant une meilleure couleur qu'avant leur départ. Moins sombre, en tout cas. Jane finit par expliquer clairement ce qu'il en retourne précisément à l'ensemble des nôtres, me tirant une grimace non feinte quand elle explique le dernier plan de Caius. Aro et Marcus devraient tâcher de tenir leur frère en laisse, ou tout au moins, de le surveiller d'un peu plus près. Une telle agression sur notre territoire pourrait être considéré comme un acte de guerre, si l'idée de ranime le conflit nous opposant m'effleurait l'esprit. A défaut d'être plus puissants qu'eux, nous avons des alliés sur lesquels nous pouvons compter, et si une telle bataille devait avoir lieu, il y aurait des pertes dans les deux camps. D'autant plus, comme le signale justement Jane, avec tous ces nouveaux vampires récemment arrivés en ville, dont, à l'entente des rumeurs, nombreux ne semblent pas partisans des Volturis. Si j'étais enclin à me battre, Caius jouerait à un jeu vraiment dangereux.

    "D'accord. Donc on fonctionne comment? La priorité, c'est de liquider toutes ces petits mains. Ca peut être fait sans encombres. On réfléchira au problème Hector ensuite. Tant qu'il reste encore quelques âmes innocentes à sauver. On tergiversera plus tard.

    Je n'essayerai pas de conseiller quoi que ce soit à la chasseuse, quand aux vampires, ils savent à quoi ils ont affaire. Alors c'est à la louve que je répondrais en premier, lui offrant un minimum d'explications pour lui éviter les problèmes.

    "Trancher la tête, bruler le corps, les deux si possible, c'est le meilleur moyen de s'assurer une mort efficace. Le plus grand danger, sur ces vampires de cet acabit, c'est qu'ils vous enserrent dans leurs bras. Ils vous briseraient les os, et d'expérience, ce n'est pas beau à voir, et douloureux à soigner."


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    Eviter le massacre, un futur ennemi

    Les explications de la blondinette sadique me tirèrent une grimace, mais en même temps je notai l'info avec grand intérêt : si le clan n'était plus soudé, peut-être que notre vengeance pourrait enfin s'exécuter... En attendant, nous avions du boulot à faire. Les humains n'allaient pas se sauver tout seuls. Conclusion : à l'attaque, bordel !

    Surtout que j'étais d'accord avec le vieillard Cullen : si encore il y avait plus de chasseurs, on se serait séparé le travail et Hector aurait été attrapé direct, mais là... je devais me reposer sur des vampires Cullen, auxquels je n'accordais qu'une confiance toute mince, une vampire Volturi que je préférerais tuer plutôt que d'aider, et des inconnus de race indéterminée. Super. Boulot de con. Bref, nous avions des humains à sauver, avant qu'ils soient tous transformés en snack.

    Je déposai mon sac à terre, glissant mon briquet dans une poche, et sortis mes armes diverses et variées et surtout très efficaces contre les vampires, avant d'attraper quelques branches de bois et de préparer une petite flambée pour ces idiots. Nous n'étions plus très loin des premiers moucherons. Soudain, mon téléphone sonna à nouveau.

    "Hisa. .... T'es sérieux ? Vous m'envoyez ici et une fois que je suis en place, c'est du oh bah non, t'es pas en sécurité, blablabla ? .... Notre race même n'est pas en sécurité, crétin ! Si tu crois que je vais laisser des humains se faire buter à cause de toi Aaron, tu te trompes ! Et tu sais parfaitement que Chris serait d'accord avec moi. .... C'est pas une décision officielle, hein ? Tu veux juste pas que j'intervienne ? .... T'as intérêt à me fournir une bonne raison pour m'empêcher de faire notre raison d'être, mais en attendant... va te faire foutre, Aaron Cooper."

    Je raccrochai sèchement, les trais tendus, sachant parfaitement que tous ici venaient d'entendre ma conversation avec l'un des membres du Conseil. Je ne savais pas ce qui ne tournait pas rond chez lui, mais il pouvait se brosser pour que je rentre sagement chez moi !

    "Bon alors, on y va, oui ou merde ? Les veines des humains s'assèchent vite, et ils ont pas une quantité de sang extensible à volonté... si on veut les sauver, c'est maintenant."


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