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Une rencontre à jamais gravé
Mar 18 Sep - 22:29Une rencontre à jamais gravé
Dém et Kara Avril 2008 |  |
Je suis à Forks mes maîtres m'on laissée du temps pour moi sa n'arrive jamais ou alors très rarement, alors je fouilles à Forks pour voir si les Cullens on des choses à caché mais à vrai dire rien du tout. Je me balade doucement quand un crie au loin m'interpelle, je me fige et mon dons de traqueur m’amène sur la scène en rien de temps. Je découvre une femme qui se fait battre par un homme qui cherche à je sais pas quoi faire, je me jette sur lui et lui brise le coup en rien de temps et je regarde la jeune femme au sol. Elle est faible, elle est très jolie et je sens soudain deux battements de cœur, mon dieux elle est enceinte. Je la prend dans mes bras et la prend avec moi. Je trouve un Motel pas loin, je la dépose sur le lit et en profite pour me trouver des lentilles de contact je ne veux pas que elle remarque que je suis un vampire je dois cacher cela si ma famille l'apprend elle serai morte je connais les règles. Elle dort elle est encore faibles il faudrait que je lui trouve de la nourriture mais je n'y connais rien du tout je préfère attendre près d'elle sont réveille. Je la détaille, je peux remarquer que elle est très jolie, les blondes on toujours était les filles que j'admire mais pour une humaine elle est magnifique. Je la sens bouger je me dirige vers elle et lui prend la main doucement... |
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Re: Une rencontre à jamais gravé
Mer 19 Sep - 0:39
Démétri Volturi ∞ Kara Watson
Une rencontre à jamais gravéeA llongée sur le lit miteux de sa chambre du motel, Kara ferma les yeux, les mains posées sur son ventre et attendit l’heure de départ pour le travail. Mais le tumulte des voisins l’empêcha de se concentrer sur sa séance de relaxation que la sage-femme lui avait imposée au cours de son rendez-vous du jour-même. Bougonnant contre le tapage, elle se redressa lentement sur le vieux matelas rapiécé. Puis, elle se redressa définitivement et partit dans la direction de la salle de bain. Elle se déshabilla et s’observa dans le miroir à moitié fissuré.
Elle ouvrit l’eau du robinet de la baignoire et attendit que celle-ci soit à bonne température. Quand elle le fut, elle se débarrassa de sa serviette autour d’elle et s’installa dans son bain. Confortablement bien placée, elle referma à nouveau les yeux et reprit son cours de relaxation, là, où il fut interrompu.
Une demi-heure plus tard, la jeune blonde sortit de son bain, toute apaisée. Puis, la réalité refit surface ; il lui restait moins de trois heures pour se préparer et arriver sur les lieux du travail ; Peter, son patron ne tolérait aucun retard de ses employées. Et pour le satisfaire, Kara arrivait toujours la première, au grand dam de ses collègues. Mais elle savait très bien s’y prendre avec lui : il avait le béguin pour elle.
Dix minutes avant l’heure, Kara sortit de son motel, une grande doudoune sur elle. La nuit tombée, Forks était souvent plongée dans un froid glacial. Mais pour Kara qui était habitué aux intempéries, n’en avait que faire du mauvais temps. Ce qui l’importait, c’était la naissance à venir de sa petite-fille et pour cela, elle était prête à braver son travail et le froid pour subvenir à ses besoins.
Quand elle arriva dans le quartier dont elle avait l’habitude de fréquenter, Peter s’approcha d’elle l’air furieux et hurla de mécontentement :
- T’AS VU L’HEURE, SALE PUTE ?! lui cria t-il dessus l’air menaçant. TU ME FAIS HONTE DEVANT TOUTES TES AMIES CATINS ! COMMENT OSES-TU ME FAIRE ATTENDRE ? TU ES CENSÉE ÊTRE L’EXEMPLE DE TOUTES CES PUTES !
Il l’attrapa par les épaules et la bascula sur le sol. Kara en perdit sa doudoune. En dessous, elle était uniquement vêtue d’un haut en cuir et d’une jupe courte de la même matière. Peter commença à lui donner des coups de pieds sur les côtes, mais par reflex, la jeune femme protégea son ventre en se recroquevillant sur elle-même.
- Relève-toi, espèce de traînée ! cria t-il. Je m’en vais te montrer les bonnes manières, moi ! Debout et agenouille-toi devant moi ! lui ordonna t-il.
Mais Kara ne se laissa pas faire et lui lança un regard glacial.
- Va te faire foutre, connard ! rétorqua t-elle en tentant de se redresser.
Peter lui donna un coup de poing sur le visage. Kara tomba sur le sol, le visage ensanglanté.
- C’est ça… continue à frapper une adolescente de seize ans, bâtard ! ajouta t-elle avec un faible sourire. Quel courage de s’en prendre à une jeune femme sans défense. Je t’applaudis.
Provoquant Peter de la sorte, elle força son patron à dégainer une arme. Mais les autres filles s’interposèrent et prirent la défense de Kara. Avec un sourire, elle tenta de se relever, mais les coups portés par Peter sur elle, l’affaiblirent. Elle chuta sous le choc tandis que Peter écarta les collègues de la jeune blonde et pointa son arme sur le ventre de la jeune femme.
- Non, pas ça ! dit-elle d’un ton faible. Je t’en supplie, Peter ! Fais-moi subir autant de chose que tu voudras, mais ne me prive pas de mon enfant. Fais de moi ta chose, mais laisse-moi vivre, je t’en supplie… je t’en supplie à genoux.
Elle se mit à genou face à l’homme qui la repoussa avec son pied. Kara, à bout de force et de souffle, renonça à l’espoir et se laissa tomber sur le sol. Mais au même moment, elle sentit un courant d’air lui passer dessus. Elle ne vit rien de la scène, mais elle sentit qu’on la portait et qu’on la transportait quelque part. Elle s’évanouie.
Kara ouvrit les yeux. Et la première chose qu’elle vit, c’était une lumière lugubre. Au-dehors, il devait toujours faire nuit à la pénombre de la pièce dans laquelle elle se trouvait. Quand elle eut compris qu’elle était allongée sur un lit, en toute sécurité, elle eut le réflexe de toucher son ventre. Tout semblait aller pour le mieux : le bébé allait bien. Il restait désormais à déterminer l’endroit dans lequel elle avait été transportée par son ange gardien.
Elle ouvrit l’eau du robinet de la baignoire et attendit que celle-ci soit à bonne température. Quand elle le fut, elle se débarrassa de sa serviette autour d’elle et s’installa dans son bain. Confortablement bien placée, elle referma à nouveau les yeux et reprit son cours de relaxation, là, où il fut interrompu.
Une demi-heure plus tard, la jeune blonde sortit de son bain, toute apaisée. Puis, la réalité refit surface ; il lui restait moins de trois heures pour se préparer et arriver sur les lieux du travail ; Peter, son patron ne tolérait aucun retard de ses employées. Et pour le satisfaire, Kara arrivait toujours la première, au grand dam de ses collègues. Mais elle savait très bien s’y prendre avec lui : il avait le béguin pour elle.
Dix minutes avant l’heure, Kara sortit de son motel, une grande doudoune sur elle. La nuit tombée, Forks était souvent plongée dans un froid glacial. Mais pour Kara qui était habitué aux intempéries, n’en avait que faire du mauvais temps. Ce qui l’importait, c’était la naissance à venir de sa petite-fille et pour cela, elle était prête à braver son travail et le froid pour subvenir à ses besoins.
Quand elle arriva dans le quartier dont elle avait l’habitude de fréquenter, Peter s’approcha d’elle l’air furieux et hurla de mécontentement :
- T’AS VU L’HEURE, SALE PUTE ?! lui cria t-il dessus l’air menaçant. TU ME FAIS HONTE DEVANT TOUTES TES AMIES CATINS ! COMMENT OSES-TU ME FAIRE ATTENDRE ? TU ES CENSÉE ÊTRE L’EXEMPLE DE TOUTES CES PUTES !
Il l’attrapa par les épaules et la bascula sur le sol. Kara en perdit sa doudoune. En dessous, elle était uniquement vêtue d’un haut en cuir et d’une jupe courte de la même matière. Peter commença à lui donner des coups de pieds sur les côtes, mais par reflex, la jeune femme protégea son ventre en se recroquevillant sur elle-même.
- Relève-toi, espèce de traînée ! cria t-il. Je m’en vais te montrer les bonnes manières, moi ! Debout et agenouille-toi devant moi ! lui ordonna t-il.
Mais Kara ne se laissa pas faire et lui lança un regard glacial.
- Va te faire foutre, connard ! rétorqua t-elle en tentant de se redresser.
Peter lui donna un coup de poing sur le visage. Kara tomba sur le sol, le visage ensanglanté.
- C’est ça… continue à frapper une adolescente de seize ans, bâtard ! ajouta t-elle avec un faible sourire. Quel courage de s’en prendre à une jeune femme sans défense. Je t’applaudis.
Provoquant Peter de la sorte, elle força son patron à dégainer une arme. Mais les autres filles s’interposèrent et prirent la défense de Kara. Avec un sourire, elle tenta de se relever, mais les coups portés par Peter sur elle, l’affaiblirent. Elle chuta sous le choc tandis que Peter écarta les collègues de la jeune blonde et pointa son arme sur le ventre de la jeune femme.
- Non, pas ça ! dit-elle d’un ton faible. Je t’en supplie, Peter ! Fais-moi subir autant de chose que tu voudras, mais ne me prive pas de mon enfant. Fais de moi ta chose, mais laisse-moi vivre, je t’en supplie… je t’en supplie à genoux.
Elle se mit à genou face à l’homme qui la repoussa avec son pied. Kara, à bout de force et de souffle, renonça à l’espoir et se laissa tomber sur le sol. Mais au même moment, elle sentit un courant d’air lui passer dessus. Elle ne vit rien de la scène, mais elle sentit qu’on la portait et qu’on la transportait quelque part. Elle s’évanouie.
Kara ouvrit les yeux. Et la première chose qu’elle vit, c’était une lumière lugubre. Au-dehors, il devait toujours faire nuit à la pénombre de la pièce dans laquelle elle se trouvait. Quand elle eut compris qu’elle était allongée sur un lit, en toute sécurité, elle eut le réflexe de toucher son ventre. Tout semblait aller pour le mieux : le bébé allait bien. Il restait désormais à déterminer l’endroit dans lequel elle avait été transportée par son ange gardien.
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