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    L'amour interdit, impossible. Mais... (pv Jaz)
    Nous étions partis avec Démétri faire un tour, j’en avais besoin, nous avions discuté de tout et de rien, cela me faisait un grand bien. J’étais rentrée dans mes appartements, laissant Démétri gérer Jasper, il m’avait fais bien trop mal, de plus j’avais tellement une haine contre lui que j’aurais été capable de le tuer.

    Je vaquais à mes occupations, ne pensant plus a Jasper pensant qu’il était déjà parti loin de moi, je pense que nous n’avons plus rien a ce dire, il ne comprenait pas le mal qu’il m’avait fait en jouant avec mes sentiments, bien même qu’il les avait contrôlés, en plus de le détester, j’éprouvais malgré moi quelque chose pour lui, peut importe sa naine.

    Je soupirais en repensant à tout cela, je regardais le ciel et le peu d’activités au château, pour une fois que j’étais tranquille sans rien faire, sans que l’on me demande, oui on peut dire que j’étais bien, un instant de paix, de calme, ne pas prendre de décision, bien que torturer me manque un peu mais j’ai l’éternité pour cela.

    J’entends frapper à la porte, même pas besoin de répondre entrer, c’est Démétri, je le regarde il me sourit, je li réponds, nous avons créé un certains lien que nous arrivons à communiquer sans même parler, il me jette Jasper, un sourire sournois et repars.

    [color=#A52A2A Tu es encore là toi ? [/color]

    Ne le regardant même pas.

    [color=#A52A2A Je te pensais partis ou mort. [/color]

    Dis-je sèchement.

    [color=#A52A2A Pourquoi Démétri ta fais venir dans mes appartements tu as peut être des choses à me dire ? [/color]

    Je continuais à regarder dehors sans même me fier de Jasper, pour moi tout a été dis je savais à quoi m’attendre, je ne voulais pas avoir encore mal comme je l’ai été et déjà l’avoir avec moi dans la pièce, je n’étais pas très bien, les souvenirs remontant à la surface.


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    L'amour interdit, impossible. Mais...

    Jane
    Lorsque Démétri était revenu dans la pièce, Jasper savait qu'il était foutu, même s'il l'avait en quelques sortes sauver d'Opaline et de sa folie bestiale. Il avait passé un sale quart d'heure avec le Volturi, avant que ce dernier ne finisse par s'ennuyer et ne décide de l'attraper par le cou pour lui faire traverser la moitié des couloirs du château, avant de toquer à une porte et de le jeter littéralement à l'intérieur.

    En constatant qu'il se trouvait dans les appartements de Jane, il soupira alors, sachant très bien que la blonde n'avait pas déchaîné toute sa colère sur lui encore. Il l'écouta à peine lui demander si il était encore là. Cependant, il n'arriva pas à garder son cynisme pour lui, toucher de plein fouet par la colère et la tristesse de la gamine :

    - Non, c'est le pape...

    Il se releva alors, puisqu'il avait fini au sol à cause de Démétri, tout en grognant, alors qu'il expliquait, comme pour se plaindre :

    - Pourquoi partir ? Démétri saura me retrouver bien trop vite avec son don. Et puis, j'ai crû comprendre que tu avais des choses à finir avec moi. Alors je suis à toi. Fais ce que tu veux de moi avant qu'Opaline ne vienne en finir avec moi parce que je lui ait volé sa bouffe...

    Il resta dans son coin, fixant le dos de la petite princesse d'Aro, s'imprégnant de toute sa tristesse, alors qu'elle lui demandait s'il avait des choses à lui dire. Elle pensait peut-être qu'il allait avouer à haute voix qu'il voulait rester pour elle. Mais il y avait toujours Alice, même si elle était distante avec lui depuis leur dispute...
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    L'amour interdit, impossible. Mais... (pv Jaz)
    J'étais à ma fenêtre, pensive entre tristesse, colère, je ne savais pas quoi penser de cela, avais je tords d’éprouver encore des sentiments pour lui est ce que tout était faux ? Son don quelle poisse, j’étais comme perdue.

    Voilà qu’il arrivait dans mes appartements, je ne sais ce que Démétri à fait avec, ni pourquoi me l’apporter, sauf si lui avait des choses à me dire, pour moi il était mort, enfin ce que je pensais pauvre de moi, pourquoi il ne la pas tué… ?

    Arrête ton sarcasme veux-tu ? Pas avec moi.

    Tournant mon regard vers lui, le regardant se relever, j’étais prête déjà à lui faire subir mille et une tortures, il aurait mieux fait de demander à Dem d’en finir avec lui que de venir ici.

    Oui c’est vrai, tu as raisons, tu n’ais pas rapide en effet. Plutôt toi qui à peut être des choses à me dire, tu ne penses pas ?

    Je soupirais en regardant de nouveau la cour du château si vide, je ne savais pas ce que j’attendais de Jasper finalement, éprouvait il des sentiments pour moi ou pas ? J’étais clair il y a quelques jours sur ce qu’il devait faire, quitter sa naine.

    Tu as osé toucher à sa bouffe, tu as de la chance d’être encore envie, la miss ne partage pas, elle est plutôt sauvage, ne se contrôle pas, faire ce que je veux de toi, cela serait si facile. Un regard et je fais ce que je veux, peut être cela que tu cherches ?

    J’attendais des réponses, sans même prêter attention a ce qu’il pouvait faire, de toute façon s’il bougeait il subira cela est certain, je ne voulais même pas savoir ce qui c’était passer dans cette pièce, Démétri me le dira je le sais.

    J’attends, tu sais que j’ai peu de patience, n’en profite pas.

    Dis-je sèchement.


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    L'amour interdit, impossible. Mais...

    Jane
    Jasper nota dans sa tête la nouvelle règle de sa tortionnaire : ne pas jouer avec le sarcasme. Il haussa donc les épaules dans un soupir, avant que Jane ne se tourne vers lui et qu'il ne se recule brutalement, sous le coup de la surprise. Même s'il savait de quoi elle était capable, il n'était pas encore assez en forme pour retenter le coup. Il n'avait bu que trois gorgées de sang depuis les dernières tortures.

    - Ce n'est pas une question de rapidité ou non. C'est juste que c'est un traqueur, on ne peut pas échapper aux traqueurs... A part si...

    Il se tût, ne voulant pas rajouter de poudre au feu, en sachant très bien que la mention d'Alice dans toute cette histoire était malvenue. Il arqua alors les sourcils, fixant la jeune femme, alors qu'elle s'était retournée vers la fenêtre, se fichant de lui. Il soupira alors de frustration, avant de rajouter :

    - Je ne suis pas rentrée, donc à ton avis, c'est pour rester avec elle ou la laisser ?

    Il se frappa mentalement en constatant qu'il venait de nouveau de jouer avec le cynisme et que Jane allait certainement jouer avec lui. Il l'écouta à peine parler d'Opaline, avant de se reculer encore plus lorsqu'elle parla de lui faire du mal d'un seul regard. Le pire c'était que dans le fond, il le voulait...

    - Tu dois mon sauvetage à Démétri. Parce que sans lui, je ne serais pas en train de te parler mais je serais en train de parler à Bree et Opaline...

    Il prit alors sur lui pour s'approcher de la blonde, sachant très bien qu'il jouait avec le danger et les règles qu'ils avaient mis en place lors de leur dernière rencontre, en répondant alors :

    - J'te l'ai dit toute à l'heure, fais ce que tu veux de moi... J'rentrerais pas chez moi de toute manière, sinon je mettrais les miens en danger...
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    L'amour interdit, impossible. Mais... (pv Jaz)
    Son sarcasme ne me fit bondir, je me retournais vers lui, il recula méfiant tant mieux qu’il soit méfiant, je n’étais pas dans une super forme il ne fallait pas me chercher.

    Vous avez des moyens pour éviter cela Jasper, je le sais très bien, tu le penses si fort.

    Je savais très bien à quoi il faisait référence, mais je ne voulais rien entendre et je pense qu’il avait comprit, je ne le regardais de nouveau plus, j’attendais juste des réponses au final après il pouvait faire ce qu’il voulait, une bonne chasse avec Démétri et Opaline, ils vont s’amuser ses deux là.

    Rester avec moi, tu as donc pris une décision.

    C’était une supposition, je n’étais plus sûr de rien, les Cullen en ce moment joue trop avec le feu, ils vont se bruler eux-mêmes. Je parlais juste d’Opaline car je la connaissais à peine Démétri qui la connaissais le plus à vrai dire pas moi.

    Je penserais à le remercier, tu quoi ? Répète-moi ça ? Bree comment ça ? Elle est morte.

    Je le regarder de nouveaux, fronçant les sourcils sur ce que c’était cette histoire de Bree, il discute avec Bree maintenant ? Il faudra qu’il m’explique.

    Je sentais Jasper s’approcher de moi, je en sais pas à quoi il joue, encore à jouer avec mes sentiments, cela devenait dur pour moi.

    Mettre les tiens en danger ? Crois-moi que les deux là-bas on bien d’autres choses à faire que de te pourchasser.

    Je ne pus me retourner et l’embrasser avec fougue, en lui lançant mon don, il ma manqué il fallait l’avouer, mes sentiments étaient trop fort, je peux résister plus.

    Tu m’as manqué, je dois te l’avouer mes sentiments sont là, que tu le veuilles ou non, juste une chose promet moi de ne plus jouer avec ou du moins de me laisser comme tu l’as fais.

    Je le plaquais contre un mur, l’embrassant encore plus.

    Ne me laisse plus comme ça, je sais que tu aimes Alice mais je t’en prie je t’aime aussi accepte le. Je sais je ne peux pas te forcer mais ne me rejette pas, cela ma fait trop de mal, depuis je ne vie plus. Respecte cet amour impossible.

    Je le regardais avec tendresse.


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    L'amour interdit, impossible. Mais...

    Jane
    Jasper avait certainement parlé trop fort puisque Jane se retourna d'un coup et il déglutit avec difficulté, plantant son regard dans le sien. Elle savait qu'ils avaient des moyens d'éviter de faire en sorte de le retrouver. Oui, ils en avaient... Mais les visions d'Alice étaient toutes subjectives...

    - Ca ne marchera pas. Je préfère me sacrifier...

    Il ne répliqua même pas au fait que Jane avait choisi sa décision à la place mais il leva les yeux au ciel, sachant très bien que la blonde n'aimait pas ça. Il jouait avec le feu mais s'en fichait pas mal. Parce que c'était la base de leur relation de toute manière...

    - sans lui, je ne serais pas en train de te parler mais je serais en train de parler à Bree et Opaline.

    Même si par la suite, il l'avait torturé, mais il gardait ça pour lui, puisque ça ferait bien trop plaisir à Jane de l'apprendre. Il poussa donc un soupir de frustration, avant qu'elle ne lui demande de lui expliquer plus en détail, ce qu'il fit sans se faire attendre :

    - Opaline a le don de voir les morts et de leur parler.

    Il s'approcha alors de Jane, ne tenant plus. Elle lui avoua que les autres avaient autre chose à faire que de le pourchasser mais c'était de toute façon déjà trop tard puisque sa décision était prise. Et que Jane l'embrassait déjà avec fougue. Instantanément, il l'attira à lui pour la serrer dans ses bras, histoire de ne pas perdre pied alors qu'elle lui lançait son don et qu'il gémissait contre ses lèvres, en murmurant :

    - Jane...

    Sans rien comprendre, il finit plaqué contre le mur le plus proche, toujours sous le don de la blonde. Il la laissa faire, prenant sur lui pour ne rien dire, puisque de toute manière, il l'avait aussi mérité, avant de murmurer à son oreille :

    - Je te promet de ne plus utiliser mon don sur toi, sauf si tu me le demandes.

    Sans s'en rendre compte, il venait de lui faire exactement la même promesse qu'il avait fait à Alice des années auparavant. Il se mordit les lèvres, plantant son regard dans celui de celle qui allait redevenir sa tortionnaire, l'attirant encore plus contre lui pour remettre une mèche de cheveux en place derrière son oreille, avant de lui murmurer à l'oreille :

    - Alors fais moi mal comme je t'ai fais mal...
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    L'amour interdit, impossible. Mais... (pv Jaz)
    Je tournais mon regard vers lui me prenant pour qui, je savais très bien de qui il parlait, je le regardais dans les yeux. Comme-ci que je n’avais pas comprit, il me prend pour qui ?

    Un Cullen qui se sacrifie que c’est beau, peut être que vous allez comprendre Opaline par exemple, n’est ce pas ?

    J’ai supposé, Jasper ne dit rien avais je raison ? Je n’en sais rien, peut être qu’il ne désire rien avouer, il est resté par un non choix, par obligation, je ne sais pas au final.

    D’opaline, tu as du faire un pas de travers pour qu’Opaline s’en prenne à toi, et Bree….

    Je ne comprenais Bree ? Elle est morte sous mes yeux, je ne compris pas non plus son soupire, je fronçais les sourcils.

    Opaline parle avec les morts, tient, une nouvelle, je ne savais pas.

    Démétri m’en cachait des choses, il faudra que je lui parle de ça, mais là n’était pas le moment, je verrais ça plus tard. Je savais qu’ils étaient partis et je savais pourquoi ne disant rien. J’embrassais déjà Jasper, ne tenant plus, je lançais mon don et pourtant il me serrait dans ses bras.

    Oui ?

    Il ne disait rien, je l’embrassais en l’électrisant, plaqué contre le mur, je ne lâchais pas mon don, le métrisant juste pour moi, par envie, je ne cherchais rien d’autres, dans un silence profond.

    Je ne te demande rien Jasper, ne change pas, je t’aime comme tu es, toi mais ne rejoue pas avec mes sentiments enfin pas comme tu là fais.

    Une belle promesse mais je ne voulais pas qu’il change, sans son don il n’était plus lui, juste qu’il respect mes sentiments pour lui-même s’il a sa naine, il me sert de plus en plus à lui, sa dernière phrase me fit comme un soubresaut.

    Il voulait comprendre ce que j’ai vécue, devais-je accepter cela ?
    Si tu le désire…

    Je ne dis rien de plus, l’embrassant avec amour, je me recule de lui, concentrant mon don au maximum, le fixant, le regardant, je ne cessais pas, je ne flanchais pas, concentrant de plus en plus mon don sur lui, il voulait comprendre il va comprendre, il pouvait hurler, crier, je ne lâchais, au bout de plusieurs minutes intenses, je le relâchais enfin le laissant gisant à terre, comme Opa, entre al vie et la mort, retournant vers ma fenêtre, je savais qu’il allait s’en remettre.


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    L'amour interdit, impossible. Mais...

    Jane
    Lorsque Jane compara sa situation à celle d'Opaline, le blond hocha négativement la tête. Ce n'était pas la même chose du tout, puisqu'Opaline avait osé faire en sorte de briser la famille. Et qu'Emmett lui avait en plus menti sur toute la ligne. Ce qui avait fait en sorte de tout mettre en place pour que Démétri puisse profiter de son côté bestial...

    - J'avais juste soif. J'ai à peine bu trois gorgées de sang.

    Il lui annonça alors que la blonde communiquait avec les morts, ce qui expliquait pourquoi il avait pu parler à Bree, avant que Jane ne finisse par dire qu'elle n'était pas au courant de tout cela. Peut-être venait-il de lui livrer sans le vouloir le secret caché de la sanguinaire. Il n'eut cependant pas le temps de la défendre plus que ça que déjà Jane l'embrassait à pleine bouche, en jetant son don sur lui, ce qui le fit commencer à supplier. Mais il se tût, se souvenant qu'il devait prendre sur lui.

    Il laissa la jeune Vampire le plaquer contre le mur, continuant de l'electriser alors qu'il gémissait toujours, avant de lui promettre de ne plus user de son don sur elle, ce à quoi elle répondit qu'elle ne voulait pas qu'il change, mais qu'il ne joue plus avec ses sentiments comme il l'avait fait auparavant.

    - Je suis vraiment désolé, Jane...

    Et quoi de mieux que de ressentir ce qu'elle avait ressenti lorsqu'il l'avait laissée en plan. Elle accepta sa décision, l'embrassant avec amour un instant, avant de finalement se reculer et lui lancer son don à pleine puissance. Il n'eut d'autre choix que de subir, en coupant sa respiration alors qu'il laissait son dos glisser le long du mur, se retrouvant au sol, hurlant de douleur, durant ce qui lui semblait des heures. Et lorsque Jane s'arrêta, il se retourna sur le dos, les yeux clos, serrant les poings pour retenir ses tremblements. Il ne comptait pas se plaindre puisqu'il l'avait demandé à Jane. Mais en tout cas, il comprenait bien la souffrance de la blonde à présent...
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    L'amour interdit, impossible. Mais... (pv Jaz)
    Un Cullen qui se sacrifie peut être comprendra t’il le sens de ce mot à cause d’un amour perdu comme je faisais référence à Opaline, seule sans personne avec des sentiments non compris.

    Elle n’aime pas cela, enfin je pense que tu as compris, elle a comment dire un côté un peu bestial depuis…

    Je ne comprenais pas le faite qu’Opaline parlait avec les morts, ce qui était très intéressant à savoir, je ne savais pas encore si j’attendais ou si j’en faisais par à Démétri. J’avais envie de lui, l’embrasser l’avoir prêt de moi, j’en pressais avec mon don en même temps.

    Je répondis tout juste pour son don, je ne voulais pas qu’il change aucunement, mais pour le moment, je le voulais à moi, je décidais, il subissait, c’était comme ça, et même s’il suppliait je ne me serais pas arrêtée, l’embrassant toujours et encore.

    Les gémissements me faisais frémir, mais il fallait que l’on règle quelque chose ce qu’il avait fait la dernière fois, je n’allais pas me faire supplier.

    Oui je sais.

    Malgré tout, je lui faisais ressentir mon don à pleine puissance, il subissait, il gisait à terre mais je ne m’en occupais pas, il hurlais de douleur mais je n’en faisais rien, je finis par arrêter le laissant là, lui tournant le dos, regardant toujours la court ou certains s’agitais quelque peu, j’attendais qu’il se remette un peu, soupirant, j’espère qu’il avait comprit comme sa demande.

    Tu es pardonné.

    Je ne bougeais pas, fixant le vide, le soleil se couché, les Volturi sortir, j’attendais que Jasper soit remit s’il s’en remet…A lui de choisir ce moment propice entre la vie et la mort.


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    L'amour interdit, impossible. Mais...

    Jane
    Jasper avait bien compris qu'Opaline ne souhaitait pas partager sa nourriture. Et il ne comptait plus l'embêter sur ce sujet.

    - Elle est plus que bestiale, j'appelle ça du cannibalisme.

    Finalement, Jane commença à l'embrasser, usant de son don pour le punir de ce qu'il avait fait en la laissant en plan. Il prit sur lui pour ne pas se plaindre, répondant aux tendres baisers de sa tortionnaire, la rapprochant de lui en la prenant dans ses bras, ce qui amplifia la douleur ressenti. Il se mit donc à gémir, avant de lui révéler qu'il était désolé de ce qu'il s'était passé la dernière fois, en espérant qu'elle serait plus ou moins clémente sur l'utilisation de son don.

    Mais lorsqu'elle l'utilisa à pleine puissance contre lui, il finit rapidement à terre, en hurlant de douleur. Il comprenant maintenant ce qu'elle ressentait lorsqu'il était parti. Et il comprenait aussi bien mieux les paroles de Démétri.

    Lorsqu'elle le relâcha, il se mit sur le dos, fixant le plafond, alors qu'elle lui pardonnait. C'était donc tout ? Il arqua les sourcils, avant de se redresser pour se mettre en position assisse, s'adossant au mur le plus proche, en questionnant :

    - C'est tout ?

    Quoique à bien y réfléchir, il devait serrer les poings pour s'arrêter de trembler. Il fixa son regard sur le dos de Jane, puisqu'elle continuait de regarder dehors, avant de finalement prendre sur lui pour se relever et la rejoindre doucement, en disant :

    - Je pensais que t'allais me faire souffrir plus que ça...
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    L'amour interdit, impossible. Mais... (pv Jaz)
    E lle est comme elle est devenue à cause d’Emmett.

    Je ne cherchais pas plus à comprendre sur Opaline, Démétri la gérait et je ne voulais pas plus en savoir, ils faisaient ce qu’ils voulaient.
    Je l’embrassais, il amplifiait la douleur mais je prenais sur moi, n’en faisant pas attention, il me serra dans ses bras, mais pareil pas plus de réaction que ça, Il était désolé, certes mais était ce suffisant.

    J’utilisais mon don à pleine puissance pour lui faire comprendre, le laissant choir, sur le sol le temps qu’il se remette. J’attendais tranquillement ce qu’il allait choisir, j’acceptais ses excuses mais cela n’arrangeait pas la douleur que j’avais eu.

    Ce la ne te suffis pas ? Tu désires vraiment laisser ta peau ?

    J’entendais qu’il s’approchait, un rictus au coin, regardant toujours dehors il avait choisit la vie, bien mais le fait de continuer à en vouloir encore plus mais si vraiment je devais lui donner ce que j’avais ressentis, il pourrait en mourir.

    Puisque tu insistes.

    Me retournant renforçant encore mon don sur lui, me levant le fixant, le faisant reculé de là ou il venait, cette fois je n’avais pas l’intention de lâcher, il voulait souffrir, il va souffrir, il désire savoir, il va savoir.
    Toujours plus, toujours ressentir plus, tu vas ressentir fais moi confiance.

    Ne lâchant pas mon emprise.


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