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    Le chasseur chassé [LIBRE] Empty Le chasseur chassé [LIBRE]

    Lun 14 Jan - 23:02

    Le chasseur chassé
    LIBRE





    Mission du jour, chasser. Et c'est sous ma forme de panthère que je suis le plus doué pour cela. D'autant plus dans ces paysages de forêt qui conviennent mieux à la stratégie de chasse d'un fauve qu'aux lancers de lance d'un homme. Lance qui finit inexorablement dans la fourche des arbres... sinon, la savane et ses trois baobabs par hectare, c'est bien aussi.

    Ça fait près de dix minutes que je suis la piste de ce phacochère, Zigzaguant entre les arbres et descendant la colline à fond de train, les coussinets de mes pattes amortissant le choc de chacune de mes foulées dans les feuilles mortes. Je sais être plus rapide que lui, et pourtant, je reste derrière, le laissant mener la danse. Ce que j'attends? La bonne occasion. Comme celle qu'il m'offre en descendant subitement dans une clairière où je n'ai encore jamais mis les pattes. Les proies commencent à e faire rares, me forçant à chasser chaque jour plus loin de notre refuge, dans un territoire où ça pue le vampire à plein museau.

    Bref, je considère l'occasion immanquable, même si ramener une bête de 150kg jusqu'à Ami me semble compliqué. Si j'aurai du l'emmener dans l'autre direction? Je suis déjà en direction de la maison. Sauf que j'en suis encore loin. Bref, à force de réfléchir, la bête s'éloigne doucement. Alors je saute dessus depuis la pente au dessus, prêt à lui tomber sur le poil toutes griffes dehors. Ca, c'était le plan initial. Sauf que je suis arrêté dans mon élan, en pleine course, par un poids s'abattant sur mon coté, m'envoyant m'écraser au sol. L'étreinte qui suit me brise deux côtes, et je tente vainement d'attraper la tête de mon agresseur entre mes crocs. Un vampire bien sur. Et j'ai été des plus négligeants, pris dans ma chasse...

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    Bella & Clarence
    Le chasseur chassé

    La brise légère dans mes cheveux, les bruits de la forêt, ma gorge qui me brûle alors que je déploie mes sens et que je me laisse guider vers ma prochaine proie. Ce n'est que durant mes parties de chasse que je parviens à oublier un peu la folie de cet endroit où nous sommes tous piégés. Nous sommes ici depuis plusieurs mois et hormis la réunion à laquelle tous les vampires - ou presque - du coin ont assisté, aucune réponse ne nous a été apportée. Il a été question de cloner du sang, d'en reproduire de manière artificielle. Bien entendu j'accorde beaucoup d'espoir à cette solution qui nous sauverait tous. Mais j'espère aussi secrètement pouvoir retourner là d'où nous venons, et j'ai la désagréable impression que certains prisonniers d'ici - prisonniers oui, c'est comme ça que je nous considère - ont tendance à oublier cet objectif.

    Je me suis un peu isolée pour chasser, espérant trouver un peu de réconfort dans la solitude - ma grande spécialité. Nous sommes obligés de nous éloigner de plus en plus de la ville pour trouver nos proies, sachant que nous finirons bien par nous heurter à cette limite intangible qui nous empêche de quitter cette ville. Heureusement que nous sommes moins nombreux que les vampires sanguinaires. Je
    hume rapidement la piste d'un phacochère, et je m'élance. Mais bien vite je capte une seconde présence qui semble poursuivre mon dîner, sans savoir que je n'étais pas la première à l'avoir flairé. Je grogne d'abord à l'idée de me faire subtiliser mon repas, et j'accélère, avant de me rendre compte que ce qui poursuit l'animal en est un autre, et un carnivore. La brûlure dans ma gorge s'intensifie rien qu'à imaginer remplacer le phacochère par un carnassier comme il est rare d'en trouver, surtout dans les forêts italiennes. Complètement abandonnée à mes instincts vampiriques, je déboule dans une clairière au moment même où ce qui s'avère être une panthère s'apprête à bondir sur mon ancienne proie. Si j'avais été en mesure d'être un peu rationnelle, je me serais demandé ce qu'une panthère peut bien faire par ici. Mais je n'ai pas le temps de réfléchir davantage, mes jambes se fléchissent avant de me propulser dans les airs. Une demi-seconde plus tard, mes bras se referment autour de la panthère et nous atterrissons avec pertes et fracas au sol, dans un déluge de poussière et de brins d'herbes. J'entends le craquement satisfaisant de ses côtes. La bête tente de se débattre, essaye d'attraper ma tête pour se débarrasser de moi. Ses crocs sont comme de simples plumes contre ma peau. J'attrape la partie inférieure de sa gueule ouverte pour le repousser, mais l'inspiration suivante que je prends me stoppe. Je n'avais pas flairé cette fragrance que je connais pourtant si bien, trop aveuglée par ma soif. Ce parfum qui immédiatement me fait reculer d'un bond pour reprendre une distance respectable avec l'animal. C'est plus ténu, mais tout aussi repoussant qu'avec Jake et les Quileutes... Sauf que... C'est une panthère qui se trouve devant moi. Je plisse les yeux, déboussolée. "Qu'est-ce que..."
    BY .SOULMATES

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    Clarence&Bella




    Je grogne et gronde tant que je le peux, mes crocs tentant d'atteindre mon attaquant tandis que mes griffes battent l'air, tentant de lui traverser la peau. La douleur venant de mes côtes brisées me fera peut-être flancher plus tard, mais pour l'heure, l'adrénaline aide à ne pas m'en préoccuper plus que cela. Je vis à l'année avec une vampire, il me ferait bien mal de me faire tuer par l'un d'entre eux!
    L'autre relâche soudain sa prise, et, surpris, je tombe au sol un instant, avant de me relever sur mes quatre pattes tout en adoptant une posture défensive. Un grondement sourd naissant du fond de ma gorge, les oreilles plaquées en arrières, et les babines retroussées sur des crocs de près de dix centimètres. De quoi en effrayer plus d'un, surtout vu le gabarit de la bestiole, sans vouloir me vanter. Enfin, je ne commettrais pas l'erreur de sous-estimer un vampire. Une vampire, pour être exact.
    Un détail me fait tiquer d'ailleurs, alors que je la regarde enfin. Ses yeux. Sombres, mais aux reflets plus dorés que je ne l'aurait attendu. De quoi me rendre moins agressif, l'espace d'une seconde. Agressivité revenant aussitôt quand elle bouge. Prudence est mère de sureté. Changer d'appui sur mes pattes se révèle cependant une mauvaise idée, et je rate un grondement, haletant légèrement, quand la douleur de mes côtes se réveille. Elle m'a fait mal la bourrique! Ok, peut-être que dans deux minutes, il n'y paraitra plus. Mais je vais attendre ces deux dites minutes avant de me retransformer. Y a rien de pire qu'une transformation avec un os brisé.


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    Je suis envahie par le doute, et l’incrédulité quant à ce que je vois face à moi. Est-ce vraiment une sorte de modificateur qui n’a pas une forme lupine ? Quoiqu’il en soit il est hors de question que je prenne le risque de planter mes crocs dans la gorge d’une personne. Ennemi ou non, cette créature mérite mon attention, et pas celle qui consiste à la vider de son sang. Dans ma réflexion je bouge à peine d’un cil et la panthère sursaute, prête à se défendre de nouveau. Je fléchis légèrement mes jambes pour me préparer également et ouvre les mains devant moi en un vague et incertain signe de paix. « Ok, euh… Je suis désolée de vous avoir fait mal, je n’ai pas l’habitude de voir quelqu’un comme vous sous cette forme… Quand Carlisle va savoir ça… Enfin, si vous êtes bien ce que je crois… Sinon c’est que je deviens folle et que je suis en train de parler à une panthère qui pourrait être mon dîner… » Alors je me tais et j’attends, je crois que je lui ai fait vraiment mal. Si je me base sur mes connaissances des modificateurs que je connais, il ou elle attend peut-être quelques minutes que le pouvoir de guérison fasse effet. C’est fascinant, ne puis-je m’empêcher de penser. Fascinant et un peu flippant aussi. Je hume de nouveau l’odeur qui émane de la bête qui ne cesse de grogner, et reconnais une fois de plus l’odeur qui est la même que celle de Jacob, avec une certaine nuance que je ne saurais expliquer. J’essaye aussi d’analyser un peu son comportement. Elle n’attaque pas tout de suite en retour, et reste debout malgré les blessures que je lui ai infligées. Il me semble qu’il y a derrière tout ça une réflexion plus élevée que celle d’un animal, et puis dans cette satanée ville plus rien ne devrait me surprendre. « Je… m’appelle Bella Cullen. » je tente de nouveau, toujours partagée entre l’idée que tout est possible et la possibilité que les personnes qui nous ont enfermées ici aient décidé de nous jouer des tours mentaux.
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    Le chasseur chassé
    Clarence&Bella




    Derrière ma respiration sifflante, je ne perd pas une miette de ce qu'elle raconte, alors que mes yeux ne la lâchent pas, surveillant le moindre petit mouvement, ou la moindre expression. De la stupeur, et de la curiosité principalement. Mais sait-on jamais que la faim revienne au galop.
    Après quelques instants de silence, elle se présente comme "Bella Cullen". Un nom que j'ai déjà entendu. Cullen. Ce vampire blond aux yeux dorés que j'ai croisé dans l'église un jour où je suis sorti de la forêt. Jasper Cullen. Il semblerait que j'ai trouvé ce qu'il appelait "sa famille". Elle a prononcé un autre nom cependant. Carlisle.

    La douleur disparue, je m'assieds, baillant aux corneilles et en profitant pour lui laisser un dernier aperçu de mes canines, avant de me transformer de nouveau, accroupi dans les feuilles mortes de la clairière. Je n'avais pas vraiment prévu de faire une rencontre. Si je suis ainsi en position faible par rapport à elle? Elle n'a jamais vu avec quelle vitesse je peux me transformer de nouveau.

    "Les vraies panthères sont des chatons à coté de moi, Bella Cullen. Je serai presque vexé que vous ayez pu confondre."

    Bah quoi? Je suis quand même légèrement plus proche du tigre mâle adulte que de la panthère, point de vue gabarit, non? A peu près 200kg et 2m de long supplémentaires, à vue de nez.


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    Je me redresse légèrement en observant la bête s’asseoir, me sentant un peu moins menacée. Le fait de m’être présentée semble calmer un peu sa méfiance, et je la vois finalement se transformer pour laisser place à un jeune homme aux traits qui me rappellent ceux des Quileute. J’ignore si c’est un hasard ou non, mais d’une certaine manière que je ne peux expliquer, ça me rassure un peu. Je me retrouve totalement droite, abandonnant définitivement toute posture qui pourrait encore lui laisser penser que je veux m’en prendre à lui. Il reste accroupi pour sa part. Les premiers mots qui sortent de sa bouche me font détourner les yeux et m’arrachent une grimace. « Ben… C’est-à-dire que je ne suis pas une experte en animaux sauvages… » je réponds d’un ton qui s’excuserait presque. Ce qui est totalement vrai. Je n’en ai jamais vu de ma vie, à part peut-être à la télévision. Et ce n’est pas une espèce qui court les rues par chez nous.

    Il a l’air un peu irrité, et me voilà ici à me comporter comme si je voulais me faire pardonner. J’hésite à demander si ça ira pour ses côtes, mais 1) il n’a plus tellement l’air de souffrir, et 2) je sais par expérience – et si sa nature est bien similaire à celle de Jake – que d’ici quelques minutes il ne portera plus aucune trace de notre fracassante rencontre. « Je… Je n’ai jamais rencontré de modificateur comme vous. C’est bien ce que vous êtes, n’est-ce pas ? » Il nous reste vraisemblablement encore beaucoup de choses à découvrir sur le monde surnaturel. Est-ce que les Loups savent ? Je doute qu’ils auraient gardé cette information pour eux si ça avait été le cas. Se pose aussi la question de la dangerosité de ces individus. Mais aucune inquiétude ne s’empare de moi : depuis le temps que nous étions ici, si leur but était de nous nuire, nous aurions fait leur connaissance il y a bien longtemps, et pas de la plus sympathique des manières. Mimant une respiration normale, j’en profite pour humer une nouvelle fois son odeur. Troublante ressemblance.
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    Sa déclaration a un ton d'excuse, et je me contente de hocher la tête en réponse, acceptant qu'elle s'y connaisse autant en panthères que je m'y connais en loups. Quand on sort des espèces locales dont on a l'habitude... regardez les phacochères. Je les connais gris, petits, avec trois touffes de poil sur le corps et surtout ces maudites défenses avec lesquelles ils vous transperceraient... et ici ils font trois fois leur poids, sont noirs, pleins de poils et sans ces défenses... Bon, faut dire ce qui est, vu mon gabarit, qu'ils soient plus gros c'est appréciable... même si pour les ramener à la grotte c'est plus compliqué.

    "Excuses acceptées. Je suis Clarence."

    Je lui tend une main depuis ma position accroupie avant de m'asseoir au sol, jambes croisées et bras croisés sur les genoux. Si je relâche ma vigilance? Que nenni. Je reste parfaitement capable de lui montrer mes crocs de nouveau à n'importe quel moment. J'imagine simplement que ce sera plus simple pour elle de ne pas avoir à admirer ma nudité trop longtemps. J'ai pas un pantalon dissimulé derrière chaque arbre de cette maudite forêt. Si je n'ai pas su faire preuve d'autant de délicatesse avec Leah? Nous sommes pareils, je vois pas le problème.

    'Il parait. Je n'en avais pas croisé jusque là. J'imagine que cette ville n'a pas que des inconvénients... Quoique la population de morts-vivants qui y traine mériterait qu'on réduise un peu ses effectifs..."

    Je réalise en cours de route que je parle à l'un de ces "morts-vivants", et je réfléchis à la suite de mes paroles - pour une fois - avant de reprendre la parole avant qu'elle ne prenne la guêpe en réponses.

    "Les yeux rouges, du moins. Je connais la différence entre vous."

    Parce que je connais très bien l'une de vous? Un commentaire que je garde pour moi. Je vais éviter de vendre ma sœur à tous les vamps que je croise.


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    « Enchantée, Clarence. » Je hoche la tête comme pour le saluer d’une manière digne de ce nom cette fois-ci, mais il me tend la main. Je m’approche donc, non sans noter qu’il reste encore un peu sur la réserve malgré son attitude en apparence désinvolte. Carlisle m’aurait certainement rabrouée de refuser son gerste, et je m’empare donc de sa main qui, comme celle de Jacob, me fait l’effet d’un brasier dans la mienne. Et la mienne devrait sans doute le faire frissonner. Le fait qu’il soit nu comme un ver me frappe à peine, bien top habituée à mes loups qui malgré leurs précautions se retrouvent parfois dépourvus eux aussi. Je n’ai même pas à faire l’effort de garder mes yeux à distance de ce qu’ils ne faudrait pas qu’ils voient. Je pince les lèvres lorsqu’il mentionne l’effectif on ne peut plus important de vampires dans cette ville. Non pas parce que je me sens menacée. Mais bien parce que je suis d’accord avec lui. Il pense sans doute m’avoir vexée, et ajoute rapidement qu’il parle surtout des vampires qui se nourrissent de sang humain. « Vous m’ôtez les mots de la bouche. » Je grimace en pensant aux Volturi, et à James et Victoria qui doivent également être quelque part. Ce qui m’interpelle en revanche, c’est qu’il sait à quoi correspond la couleur de mes prunelles. Ce qui m’étonne un peu. « Vous connaissez ma famille ? » je demande alors, essayant de me rappeler l’un d’eux racontant qu’il avait croisé une panthère géante qui s’avérait être un modificateur. Je suis presque sûre que je serais au courant si d’autres vampires végétariens que nous couraient les rues de cette ville. M’enfin, si ça se passe pareil que pour des modificateurs dont nous n’avions jusqu’ici pas connaissance… « Je dois avouer que votre manque de… d’agressivité ? envers moi m’étonne. Il a fallu bien plus longtemps à nos modificateurs pour laisser de côté cette envie de nous voir réduits en poussière. » Je me décide à lui offrir un petit sourire ironique, mais ne poursuis pas ma réflexion. Cependant il sait probablement où je veux en venir. Je m’ose à penser qu’il doit être bien plus familier avec notre nature qu’il ne l’a sous-entendu jusqu’ici. Mais il ne me doit rien et j’ignore s’il est plutôt du genre renfermé, à ne pas vouloir se livrer à une inconnue. C’est son droit. Je dois avouer que ma fascination et mon étonnement m’emportent peut-être au-delà des limites du raisonnable, c’est pourquoi je préfère me taire pour le moment. Je ne veux pas le braquer.
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    Le chasseur chassé
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    Je serre la main qu'elle finit par me tendre en réponse à la mienne. Fut une époque où j'aurai surement sursauté face au froid si intense de la peau d'un vampire, mais j'ai appris à le supporter à force de côtoyer ma sœur, d'autant plus que nous avons toujours été du genre tactiles l'un envers l'autre (dans le sens câlins, tapes amicales et autres gestes d'affection entre un frère et une sœur, j'entends) et que cela n'a pas particulièrement changé depuis notre transformation.

    Surprenante, cette vampire. Si elle s'étonne que je sache différencier les yeux rouges et les yeux dorés, elle a l'air de mon avis concernant les premiers. Ils sont trop nombreux ici. De base, s'il n'y en avait aucun, ça me conviendrait très bien. Mais là, c'est une overdose. Comment ils se débrouillent pour ne pas se dévorer les uns les autres?!

    "J'ai croisé l'un des vôtres récemment. Jasper. Il n'a pas eu le loisir de voir la longueur de mes canines, cependant."

    Elle est maline, toutefois, et semble comprendre plus vite que son... compagnon? frère? ... que j'ai déjà eu l'occasion de voir de mes propres yeux cette histoire d'yeux qui changent de couleur. Je ne compte toutefois pas lui dévoiler toute l"histoire, pas encore.

    "Je suis agressif envers ceux qui le méritent. J'ai eu l'occasion de rencontrer un yeux-dorés, comme vous, il y a quelques années. J'ai pu voir ses yeux changer de couleur en fonction du repas de la veille. J'ai appris à mon instinct à accepter que tout n'est pas noir ou tout blanc."

    Ce qui n'a pas toujours été simple. Mes sentiments pour Ami y ont plus qu'aidé, je dois dire, mais parfois, la méfiance du fauve semble revenir au galop. Je crois qu'il n'y a pas duo moins assorti que nous deux.

    "Vous semblez également en savoir beaucoup sur les miens. Probablement plus que je n'en connais moi-même."

    Un autre point qui me le confirme? Je n'ai encore entendu aucune réflexion sur "l'odeur de chat mouillé" qui me suit, si j'en crois ma vampire de sœur. C'est donc qu'elle a l'habitude d'avoir une odeur similaire dans le nez. Leah?


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