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    Discussion au sommet
    Carlisle et Aro





    Notre voisinage forcé avec les Volturis apporte une crainte certaine dans notre entourage. Notre dernière rencontre avec les rois italiens ne s'était pas déroulée sous les meilleurs augures, et nous ne devons qu'à la bonne volonté de je ne sais quel être supérieur que la sagesse d'Aro ai su aller au delà de l'ambition de Caius. Une chance avec laquelle il vaut mieux ne pas chercher à jouer. Raison pour laquelle, plutôt que d'attendre que l'un d'entre eux ne se rappelle de notre existence, je préfère prendre les devants et me présenter à Aro, seul à seul. J'ai un jour considéré ce vampire comme un ami, et j'ose espérer qu'il en reste encore quelque chose aujourd'hui, que nous saurons marcher de concert plutôt que de mettre cette ville à feu et à sang. Je rejoins donc cette bâtisse dont les Volturis ont fait leur nouveau palais, après avoir convaincu Esmée de me laisser y aller seul. Je tiens vraiment à ce qu'il  n'y ai rien entre Aro et moi, et la seule présence d'une autre personne risquerait de lui faire sentir une menace inexistante. Je ne tiens pas à ce que Caïus ou l'un des jumeaux ne soit appelé pour contrebalancer l'avantage pris.

    Je laisse l'un des gardes me guider jusqu'à une pièce que je pense être une sorte de salle de conférence, un endroit où les Italiens reçoivent ceux qui souhaitent les voir. Une pièce que j'imagine surveillée par des voies détournées. Loin de leur environnement naturel, les Volturis doivent craindre pour leur sécurité. Ils sont assez intelligents pour ne pas se croire bêtement invincibles.

    "Aro. Merci d'avoir accepté ma demande d'entrevue."


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    Discussion au sommet

    Nous voilà arrivé depuis trois mois dans cette ville. Nous avons rapidement trouvé nos marques. nous savions bien que nous ne pouvions pas sortir, alors autant s'installer confortablement. Nous avions élu domicile dans un véritable palace. Tous les gardes n'y avaient pas leur place, ce n'était pas aussi grand qu'à Volterra, mais c'était déjà immense. Je discutais avec Marcus lorsque l'on nous interpella pour nous signifier que Carlisle Cullen était à la porte et souhait s'entretenir avec moi. Je les savais en ville, mais n'avait pas tenu à les approcher. je leur avais pourtant envoyé un espion pour continuer à les observer comme lorsqu'ils étaient à Forks. J'avais prit cette habitude qui le sache ou non m'importait peu. Je voulais juste savoir ou en étais chaque membre de cette famille et savoir ce qu'il était envisageable pour moi ou non par rapport à ceux ayant des pouvoirs. Marcus nous laisse donc et rapidement  la porte s'ouvre de nouveau pour laisser rentrer mon vieil ami.

    - C'est un plaisir mon ami.

    J'étais sincère. j'était réellement heureux de le retrouver après tout ce temps. Nous avions été ami à l'époque et sans cette blondinette à deux francs six sous nous le serions encore. Si je n'avais pas détruit son clan comme je les fais avec tous les autres pour des pouvoirs, c'est grâce à quoi selon vous ?

    - Assieds toi ! Nous allons pouvoir discuter comme jadis! Pourquoi es-tu venu jusqu'ici ?

    Je m'assois sur une chaise juste à côté de lui et non pas en face. Avant tout j'ai besoin de m'assurer que ses pensées sont bienveillante à notre égard, qu'il ne compte pas me monter un char, alors je tend mes mains vers lui pour qu'il mette les siennes dedans. j'ai besoin d'en voir plus.

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    Discussion au sommet
    Carlisle et Aro





    "Comme jadis", une période qui me semble bien lointaine, autant parce que de nombreux évènements se sont succédés depuis, que parce qu'à cette époque, je n'imaginais pas un jour devoir considérer Aro et ses frères comme une menace. Je m'installe sur une des chaises entourant la table qui trône dans la pièce, pensant voir Aro s'installer à l'autre bout, en face de moi, et non à mes cotés comme il le fait.
    Je l'observe tendre ses mains vers moi dans un geste que je connais bien, suffisamment pour savoir que Aro jure davantage sur ses pouvoirs que sur n'importe quel mot que je pourrais lui dire, et c'est de bonne grâce que je pose mes mains dans les siennes, le laissant voir ce qu'il a envie de voir concernant la raison de ma présence ici.

    "Je n'ai jamais eu aucune intention belliqueuse à ton égard, Aro. Je regrette que nous en soyons arrivés au point où nous en sommes aujourd'hui."

    Et nous savons tous deux que ce n'est ni de son fait, ni du mien. Je n'ai pas besoin de mots pour savoir qu'il a capté ma pensée concernant Caius et son ambition, et peut-être même l'espoir que j'ai qu'il ne parvienne jamais à supplanter Aro. Car ce jour là, la communauté des vampires aura vraiment du souci à se faire.

    "Je viens te voir parce que nous ignorons la raison ou la cause de notre présence en ces lieux. De même que nous ignorons combien des nôtres se retrouvent dans la même ville, avec les impératifs alimentaires qui vont avec. Nous avons besoin d'une alliance, Aro, pas de ces guerres intestines qui n'ont plus de sens."

    Je reprend mes mains lorsqu'il finit par les lâcher, posant les avant-bras sur la table alors que je le laisse prendre le temps de la réflexion. J'ai exposé mes arguments, à lui d'y offrir une première réponse. Quelle qu'elle soit, nous verrons où cette conversation nous entraine, même si j'y place beaucoup d'espoirs.



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    Discussion au sommet

    Il s’assoit, je me mets à ses côtés et lui tend mes mains. Ses paroles sont belles, mais j'ai parfois peur des belles paroles, mon don lui ne me trompe jamais. Il me donne les siennes de bonne grâce et je peux suivre le fil de ses pensés, des plus récentes aux plus anciennes. Je vois sa peur de Caïus devenir roi et j'avoue que depuis quelques temps moi aussi cette pensées m'effraie. Disons qu'elle m'inquiète. J'aime mon frère, mais je sais aussi qu'il fera tout pour le pouvoir; il est pire que moi à ce propos. Lui serait près a exterminer les Cullen pour rien, contrairement à moi. il me faudra une excellente raison pour le faire si jamais cela venait à arriver, mais tout ce que je lis dans la tête de mon ami, me conforte dans l'idée que ce n'est pas pour tout de suite. Je finis par les lâcher et nous pouvons discuter. Je reste à la même place, Droit et fier autant que je peux l'être en de tel circonstance. Il m'explique le pourquoi de sa venue entre ces murs et je reste silencieux un moment. J'y ai songé également sans trouver de réponse. Je crois qu'en acceptant cette invitation je me suis dit qu'il en aurait peut-être à m'offrir, il a toujours été de bons conseils durant le temps où il a été à nos côtés. J'ai accepté, mais regretté son départ à l'époque, même si je croyais comprendre ses impératifs, son besoin d'ailleurs.

    - J'ai bien peur de ne pas avoir d'avantage de réponse. Mais je suis d'accord. nous devons faire quelque chose, nous devons tous aller dans le même sens. Qui sait combien de temps nous allons être coincé ici, nous allons finir par manquer de sang, aussi bien nous que vous.

    Si les humains ne peuvent pas voir le jour en un claquement de doigts, les animaux non plus, même si ils se reproduisent d'avantage et plus vite. Il nous faut une solution sur la durée. Mais j'ai beau réfléchir je n'en vois aucune. Et j'ai beau ne rien à voir à faire des humains en règle générale, je tiens à la règle qui veut que tous ne découvrent pas qui nous sommes, ce qui signerait notre perte à n'en pas douter!

    - Tout en continuant de nous faire discret, bien entendu!

    Afterglow

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    Discussion au sommet
    Carlisle et Aro





    Appellerons nous à la trêve? Je crois que c'est un accord tacite qui se conclut à la minute où Aro libère mes mains de son étreinte, semblant avoir trouvé ce qu'il cherchait dans mes pensées. Une vérité logique à laquelle il a déjà pensé, en bon chef de clan qu'il est. Si nous avons des manières différentes de procéder, je sais qu'il tient à la sécurité de son clan autant que je tiens à celle de ma famille, et que la situation actuelle lui déplait autant qu'à moi.

    "J'ignore combien de temps cela pourra durer. La morgue est saturée. Je passe mes journées à soigner les plaies d'humains ayant survécu à l'attaque de ces étranges vampires dépourvus de venin. Et je n'évoquerai pas les nouveaux-nés créés par les inconscients de notre race pensant pouvoir en faire de même. D'après les informations du vampire infiltré dans les forces de l'ordre locales, c'est environ un quart de la population humaine de la ville qui n'a pas survécu à ce premier mois."

    Des faits qu'il a déjà vu dans mon esprit. Mais que je me permet de remettre à plat, de façon tangible. Nombreux sont ceux à avoir opté pour un rationnement raisonné, mais même ainsi, il arrive toujours un moment où il faut bien se nourrir. Et un vampire affamé n'est peut-être pas mieux pour cette ville qu'un vampire ayant accès à l'alimentation quand il en a besoin.

    "En effet, la chasse devient compliquée. Entre les prédateurs naturels - du moins, les deux ou trois qui restent en vie -, les loups, les Denalis et nous, ..."

    La discrétion, un autre problème de taille. Parce que la plupart des vampires établis dans une ville ou une région particulière évitent de chasser dans les environs immédiats de leur demeure. Ici, nous n'avons guère le choix. Et une centaine de prédateurs dans la même ville... je crois qu'il est trop tard pour parler de discrétion.

    "Si je peux me permettre, Aro. En est-on encore au stade de la discrétion? Il ne faudra pas un an pour qu'il n'y ai plus un être vivant dans cette ville, à notre exception, si nous ne trouvons pas une alternative. Que ferons-nous ensuite? On s'entre-dévorera? " Je marque une pause, réfléchissant. "Non. Je sais que certains vampires pillent les réserves de sang de l’hôpital pour s'alimenter. Une autre solution temporaire. Mais sur le long terme... Il nous faudra trouver une issue, ou une solution d'alimentation pérenne. Et pour l'heure, je ne vois ni l'une, ni l'autre."

    Boire du sang en conserve? Une idée qui aurait surement su germer dans l'esprit de mes fils. Mais d'une manière ou d'une autre, quelle que soit la façon de le consommer, le sang doit bien venir de quelque part. On ne va tout de même pas contraindre les humains habitant cette ville à donner leur sang juste pour nous alimenter, tout de même? Et si cela pourrait être une autre solution temporaire pour les sanguinaires, je nous voit assez mal nous lancer dans l'élevage d'animaux pour les ponctionner de leur sang à l'aide de seringues et de poches stériles... Vous me direz, il y a plus de sang dans un cheval qu'il n'en faut pour rassasier un vampire... mais j'ai pas souvenir d'avoir croisé de cheval depuis notre arrivée ici.



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    Discussion au sommet


    Nous sommes l'un face à l'autre et pourtant nous n'avons pas été aussi proche depuis bien longtemps. Il m'explique la situation en ville et les problèmes que nous rencontrons et que nous allons bientôt voir survenir si nous n'agissons pas très vite. Il dit vrai, tout d'abord parce que je le crois quand il parle, mais aussi parce que je l'ai vu dans son esprit. Je n'ai aucune solution à proposer et cela m'agace au plus au point. Je n'aime pas ne pas avoir de solution.
    Il me parle de ses journées au travail, de toutes les espèces qui sont représentés dans cette villes. J'ai moi aussi entendu parler des vampires avec des veines sous les yeux et qui n'ont pas ce venin qui nous fait tuer tous les humains que nous mordons si nous ne buvons pas jusqu'à la dernière goutte de leur sang. Je n'en ai pas encore croisé, pour la simple et bonne raison que je n'ai pas mit le nez dehors depuis notre réveil dans cette ville de malheur. Caius est bien trop frileux pour cela et il a refilé le virus à mes gardes. Je reste donc discret... pour l'instant.
    Il me parle de toutes les solutions qu'il voit mais aucune n'est durable. Il me faut un instant pour mettre ensemble 1+1. Nous n'avons pas de solutions et nous sommes nombreux en ville. Si nous n'avons pas de solutions d'autres en ont peut-être.

    - Je t'entends mon ami,.. je t'entends. Nous devrions peut-être rassembler nos semblables. tout d'abord pour savoir combien nous sommes réellement dans cette ville et ensembles nous trouverions peut-être une solution à notre problème.

    Je ne doute pas que les nouveaux nés n'en chercheront aucune se satisfaisant de sang frais mais pour nous autre capable de réfléchir, cela promet d'être intéressant.
    J'observe mon vieil ami en silence, attendant sa prochaine réaction. Sera t-il d'accord avec cette proposition ou souhaite il plus de temps pour réfléchir. il y a des siècles qu'autant de vampires n'auront été réunis dans une même pièce, et dans mon souvenir cette fois là a été mémorable en perte vampirique. Les gens n'étaient pas d'accord et plusieurs se sont attaqués jusqu'à la mort de plusieurs d'entre nous... J'espère ne pas faire d'erreur en proposant cela.

    Afterglow

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    Carlisle et Aro





    Je pose mes coudes sur mes cuisses, mes mains se croisant alors que je réfléchit à ses paroles. J'ignore si une réunion de vampires, aussi bien alliés qu'ennemis, est une excellente idée, mais jusque là, c'est bien la seule que nous ayons. La ville n'est pas grande. Que nous laissions les rivalités s'étendre et s'affirmer jusqu'à ce qu'elles éclatent, ou que nous prenions le risque d'un pugilat public sous la houlette de quelques uns capables de maintenir l'ordre et le calme au milieu des autres...
    Je hoche légèrement la tête, acquiesçant de la sorte que son idée semble la meilleure piste que nous ayons actuellement.

    "Qu'en sera-t-il de Caius? Je sais qu'il est ton frère, et l'un de vos dirigeants, mais nombre de vampires se méfient de lui plus que d'aucun autre de ton clan. Là ne sont pas mes affaires, mais ne serait-il pas plus prudent de lui conseiller le silence ou l'absence? Nous avons besoin de solutions concrètes, pas de querelles et de méfiance."

    Bien que je pense sincèrement que la présence du moindre Volturi suffira à faire que certains refusent de se prêter au jeu. J'ai tendance à penser que, si cela est dommage de se priver de certains avis, il vaut encore mieux des absents qu'une bande sauvage incapable de communiquer pacifiquement.

    "Si cela te convient, j'en parlerai à nos amis. Le bouche-à-oreille risque d'être plus efficace que des cartons d'invitation."




    The Raven

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    Je suis en ville depuis le : 26/03/2015 J'ai aujourd'hui : une éternité mais j'en paraît seulement : peu car oui je suis jeune au fond Je vis à : chaque endroit où je peux vous persécuter avec : vous tous Je suis actuellement : dans une situation compliquée Je suis un(e) : tortionnaire un mélange de : con et d'hypocrite mais ça vous le savez déjà et j'ai le don de : vous faire transpirer de peur On me confond souvent avec : un corbeau Les gens savent que je suis : là pour vous tourmenter Je dois mon avatar à : SmileAlways Mes messages sont aux nombres de : 537
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    Carlisle prend du temps pour réfléchir. Il est comme moi plutôt méfiant sur le fait de réunir tout le monde, mais nous n'avons pas d'autres idées. Il finit par hocher la tête. Avant de se mettre à parler de Caius et du fait que certain ne souhaiteront peut-être pas venir si lui est présent. Si il a raison sur un point c'est que cela ne le regarde pas. il est de bons conseils, mais il est bien trop à l'aise dans cette nouvelle ville, pour oser dire une chose pareil sur l'un de ses rois. Surtout quand ce dernier est l'un de mes "frères".

    - Je connais vos différents Carlisle, mais prend garde à ne pas dépasser les limites ! Tu parles de mon frère comme tu le dis si bien. Si il tient à venir, il viendra, bien que je doute que ce genre de réunion l'intéresse, ce sera à lui d'en décider et surement pas à toi ou à quiconque!

    Au mieux je pourrais éviter qu'ils sortent trop d’aberration, mais je ne peux clairement pas l'empêcher de venir si il le souhaite, même si je le voulais ce n'est pas dans mes compétences. nous sommes trois rois et chacun y a sa place, même si les décisions finales me reviennent, je ne peux pas me passer de son appui. Il est de plus le plus âgés de nous trois et donc le plus fort. je ne doute pas de ses alliés parmi nos rangs et même si toutes ses décisions ne me conviennent pas, je dois jour finement.
    Après ces paroles, je me lève brutalement. je ne tiens pas à discuter d'avantage de celà avec lui.

    - Va pour le bouche à oreille. J'en ferais de même de mon côté. Laissons nous quelques jours le temps d'informer tout le monde. Ce week-end peut-être. Vendredi soir me semble tout indiquer; j'enverrais un émissaire à ces autres vampires.

    Afterglow

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    Carlisle et Aro





    L'expression d'Aro est soudain moins amicale et plus véhémente alors qu'il n'apprécie pas mon commentaire sur Caius. Contrairement à ce qu'il pense, ce n'est pas l'animosité qui me lie à Caius qui parle. Mais une réelle inquiétude concernant l'avis général à son sujet. La plupart des vampires que je connais respecterai Aro, considérant qu'il est assez sage pour savoir opter pour la solution la plus juste. Mais Caius est celui qui inquiète vraiment les gens, autant par son ambition que par son absence de clémence.

    "Pardonne cet écart. Il n'y avait aucune volonté de rouvrir une plaie à peine cicatrisée. Une simple analyse objective. Mais peut-être mal placée, je te l'accorde."

    Je n'insiste cependant pas, sachant que j'ai dépassé les limites de la tolérance du Volturi, et je me relève de mon siège pour prendre congé, comprenant sans besoin de mots que la conversation est terminée.

    "Bien. Vendredi soir, c'est parfait. Je te laisse te charger d'organiser tout cela. J'ai quelques coups de téléphone à passer."

    Cela dit, je n'attends pas de signal du roi pour prendre définitivement congé, ressortant de la pièce d'un pas tranquille avant d'accélérer à peine la porte franchie. J'ai confiance en Aro. Moins en certains de ses hôtes.


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